La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°858)
Datte: 27/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°857) – Mes yeux papillonnaient, il n’était pas censé être compliqué de se laisser aller. Mais c’était tellement bon d’avoir droit de poser mes yeux sur Lui, que je vénérais tellement, que j’aimais tellement profondément, qu’il était dur de se décider à garder les yeux fermés. Pourtant au bout d’une vingtaine de minutes, Morphée remporta le combat, et je tombais inanimée dans ses bras, imaginant que c’était ceux du Maître me serrant contre Lui… J’étais bien, sereine, j’étais moi… soumise … Le lendemain était un samedi. Mon mari m'avait dit que s'il passait ce serait le soir. Avait-il pensé que nous étions un jour de semaine et que les filles seraient à l’école ? Que leur répondre s'il n'était pas là de cette journée de vendredi ? Elles n'allaient pas tarder à se réveiller. Je me levais donc pour commencer à préparer le petit déjeuner. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant mon mari qui s'activait dans la cuisine ! Je ne savais comment l'aborder alors j'attendais qu'il me voie enfin. Quand ce fut le cas, on resta un moment à se regarder sans savoir quoi se dire. Ce fut lui qui interrompit le lourd silence en premier. Sa voix était froide, sans émotion : - Je ne sais toujours pas ce que tu attends de moi ! Mais je ne pouvais pas laisser les filles toutes la journée... J'ai peur pour elles ! Comment grandir sainement avec une mère comme toi ? J'étais sidérée par sa façon de réagir ! Mes filles se portaient bien, jamais ...
... elles n'avaient été en contact avec ce monde D/s et je sais qu’elles ne le seront jamais si ma destinée les emmenait vivre au village près du Château. - Si depuis plus de trois ans, tu ne t'es rendu compte de rien, c'est que je suis discrète non ? Nos filles n'ont jamais rien vu de mon monde. Et cela restera toujours comme ça, je peux te le promettre ! - Ce ne sera pas une promesse difficile à tenir si j'obtiens la garde de mes filles, totalement... - Tu veux divorcer alors... - Je n'ai pas le choix, je dois protéger mes enfants ! … Plusieurs semaines passèrent. Nous vivions en colocation. Après moult disputes entre nous deux, nous avions expliqué comme nous avions pu aux filles, que nous ne nous aimions plus et que j'allais bientôt quitter la maison. J'avais accepté l'aide judiciaire du Maître. Grâce à Son avocat, un des meilleurs du barreau de Lyon, et au travail de mon mari qui faisait qu'il était régulièrement absent, nous eûmes la garde partagée. Mon mari les gardait la semaine, s'il était là, sinon avec l'accord du Maître, je me déplaçais et les gardais. Les week-ends je les passais également en Bretagne, dans une suite à l'hôtel pour pouvoir recevoir mes puces. Les vacances, si leur père était là, elles les passeraient moitié en Bretagne avec lui, moitié à Lyon avec moi dans le luxueux pavillon du village que le Maître me laissait occuper lorsque mes filles étalent avec moi. Il en avait été décidé ainsi pour ne pas obliger mes filles à changer d'école et à s'éloigner de ...