1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°858)


    Datte: 27/10/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mari, surtout avec l’image qu’il avait de moi. J’aurai tellement voulu qu’il puisse me comprendre ! Au cabinet, mes collègues me préparaient à mon futur emploi de secrétaire particulière de Monsieur le Marquis d’Evans, en ce qui concernait la partie vanille, personne ne se doutant de notre lien chocolat. Là encore, l’avocat du Maître avait fait fort, mon mari n’avait pu se servir de cet argument contre moi, il n’avait même pas eu la possibilité d’en parler ! Je ne sais ce que ce maître (avocat) avait fait ou dit à la partie adverse, mais jamais il n’en avait été question ! Le Maître n’avait pas pu revenir en Bretagne durant la procédure. Mais Il suivait tout ce qu’il se passait dans ma vie, au travers des rapports détaillés que Lui envoyait l’avocat, mes chefs au travail, et par les nombreuses webcams que l’on faisait, pour que toutes ces histoires ne me fassent pas oublier ce que j’étais et pour qui je l’étais. Et j’en étais tellement heureuse ! Je ne demandais que cela, être toujours ...
    ... plus à la disposition du Maître pour toujours plus le satisfaire. Je m’en remettais totalement à Lui, je savais que tout serait pour le mieux, que ce soit dans ma vie familiale, ma vie professionnelle ou ma vie chocolat… Grâce à l’efficacité de l’avocat, le divorce avait été prononcé en trois mois. Mis à part la garde des enfants, et ce qui était effectivement bien à moi avant notre mariage, et qui n’était d’aucune utilité à mon mari et dont il se débarrassait volontiers, je ne demandais rien, suite aux exigences du Maître. Le pavillon qu’Il m’octroyait était abondement meublé et au Château je n’avais besoin de rien, n’ayant droit à aucune possession en propre. La décision était tombée un mercredi. Le lendemain, j’étais convoquée par mon chef direct, qui m’annonça qu’une nouvelle secrétaire arrivait le lundi suivant, et que je devais me préparer pour occuper mon nouveau poste le même jour à Lyon. Lorsque je regagnai la chambre d’hôtel le soir, un mail du Maître m’attendait… (A suivre …) 
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