1. La Muse (24)


    Datte: 27/10/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... sommes restées plantées là en répondant par oui ou par non aux questions du présentateur. Ce n’était pas par manque de répliques mais plutôt à cause du trac qui nous tétanisait. Pour ma part, je surveillais l’œil de la caméra qui scrutait mon anatomie. À un moment, regrettant d’avoir eu cette idée complètement idiote, j’ai eu envie de fuir à toutes jambes, mais la plupart du temps je m’amusais et me délectais de cette situation, étant très exhibitionniste. Au fond de moi, j’imaginais les hommes en train de nous mater derrière leur poste de télé, la queue gonflée, bavant d’envie avec à leur côté leur femme qui devait jurer et crier au scandale ! Pour exciter les hommes du public, je passais ma langue sur mes lèvres ; certains se tortillaient sur leur chaise, d’autres avaient passé une main dans leur poche et se touchaient le sexe. Si j’étais en train de les rendre fous, moi, je sentais le désir et l’envie de sexe venir en même temps que ma cyprine couler entre mes cuisses ; je m’auto-excitais. À la fin de l’émission, prétextant un besoin urgent, j’entraînai Caro aux toilettes. Une fois à l’intérieur, je l’ai littéralement violée, lui bondissant dessus comme une furie. Elle était aussi excitée que moi et me mordait les tétons tout en me fistant le vagin ; je lui en fis autant et nous nous sommes fait arriver à l’orgasme, qui fût si violent que je dus serrer les dents pour ne pas crier. J’aimais et aime toujours avoir ce genre de relation sexuelle violente et forte qui me ...
    ... procure un plaisir immense. Après l’émission (qui était en direct), certaines critiques furent très virulentes, allant même jusqu’aux insultes, prétextant que maître Georges se sentait obligé d’exposer deux blondasses totalement dépourvues de cervelle et qui, pour se faire remarquer, n’avait rien trouvé de mieux que de les foutre à poil à la télé. Cela nous passait au-dessus de la tête. D’autres prétendaient qu’il fallait se boucher le nez et mettre des bottes d’égoutiers pour arriver à lire les livres de Georges. Les bouquins en question traitaient des tourments d’adolescents et adolescentes en prise avec la sexualité et des envies parfois immorales et incestueuses, mais Georges n’en avait que faire. Par contre, ces critiques étaient largement compensées par d’autres qui encourageaient cette façon d’aborder ce sujet : exposer deux femmes nues au regard détaché, comme si elles étaient dans leur rêve, donnait encore plus de poids au sujet de l’émission. Toujours est-il que le résultat escompté se traduisit par une augmentation considérable des ventes de tous ses livres. Le midi avait été organisé un buffet ; ainsi artistes, écrivains, peintres et toutes les personnes passionnées par l’art érotique pouvaient y assister à condition d’y avoir été invitées. Pour l’occasion nous avions, Caro et moi, décidé de rester dans la nudité et la transparence. Nous avions spécialement choisi et revêtu des robes de Julie. Celle de Caro était blanche, longue, transparente avec de la dentelle dans le ...