Suite des aventure avec ma belle-soeur
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
alliance,
sexshop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fist,
... une relation avec ma belle-sœur. Même si j’avais pratiqué des attouchements sur elle il y a quelques semaines, je ne voulais pas que cela dégénère. Je lui réponds donc, avec un grand sourire, que cela ne fait pas partie du programme envisagé. Je la sens déçue mais elle ne dit rien. A midi, nous prenons notre repas ensemble, et durant tout le temps, Valérie frotte sa jambe contre la mienne. Ce geste, qui pourrait paraître anodin me trouble. Tout d’abord parce qu’elle ne m’avait pas habitué à tant de familiarité mais surtout car je me sens vraiment dépassé. J’ai l’impression que la situation m’échappe. Je reste donc le plus neutre possible et ne réponds pas à ces discrets appels. Une fois le repas terminé, je reprends (du moi je le crois) le cours des événements et entraîne Valérie dans le quartier que j’avais repéré auparavant. Nous nous dirigeons donc vers la rue de la gaîté, prés de la gare Montparnasse. Valérie semble intrigué car elle ne connaît pas le quartier. Elle semble donc d’autant plus surprise lorsque je la fais rentrer dans un sex-shop. A l’intérieur, la lumière est tamisé, au milieu s’étale des revues et vidéos dont certaines sont franchement glauques. Deux clients arpentent les allées, d’une démarche peu assurée. Le patron semble aussi passionné qu’une vache regardant passer un train. J’avais pourtant espéré que la présence d’une jolie jeune femme dans son échoppe éveillerait, au moins de la curiosité à défaut de convoitise. Peut-être est-il simplement blasé. ...
... Après avoir parcouru du regard les différents accessoires, j’entraîne Valérie vers le coin des gadgets féminins. Je montre les différents gabarits et type à ma belle sœur en lui demandant si elle a déjà vu de tels objets et si certains lui plaisent plus que d’autres. — Non, je n’en avais jamais vu auparavant mais je pense que rien ne vaut un membre de chair, tu n’es pas d’accord ? Je rougis un peu, décidément la discussion dérape vite. — Ça te dirait d’en essayer un ?— C’est toi qui décide mon cher beau-frère.— Alors allons-y, je vais demander au patron si on peut voir ces deux modèles là. Je vais alors vers le comptoir et demande au patron si on peut essayer ses jouets. J’avais imaginé qu’il me dirait oui immédiatement, c’est ce que j’avais lu dans pas mal d’histoire. Là, le patron semble hésiter et me dit que, oui, on peut essayer en salon privé si on achète. Je tique un peu mais lui dit qu’OK je vais acheter un des modèles plus des autres accessoires que j’ai déjà choisis. Le gérant me sert donc mes achats et me loue (oui, il faut payer pour ça, contrairement à ce que j’avais lu ailleurs) pour aller en salon privé. Bien que la réaction (après tout compréhensible car marchande) du vendeur m’ait un peu énervé, je n’en montre rien à Sylvie et non descendons vers une salle sombre. Nous nous retrouvons dans une pièce très Kitch, parme, avec une lumière tamisé, un lit bas, une télé diffusant des films pornographiques en boucle et une odeur d’antiseptique très forte. Bref rien de ...