Suite des aventure avec ma belle-soeur
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
alliance,
sexshop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fist,
... très encourageant mais cet aspect glauque à quelque chose d’excitant. Valérie s’assoit sur le lit, écarte en grands les cuisses en remontant les pieds sur le lit et me dit tout de go : — Vas-y, je suis prête à recevoir ce que tu veux. Je lui tends alors le premier objet, il s’agit d’un cylindre métallique d’une vingtaine de centimètre sans aucune particularité. Je m’attendais à ce que Valérie soit embarrassée avec cet accessoire que je lui tends mais elle le prend et, avec une rapidité et une aisance qui me laisse pantois, le fait pénétrer à l’intérieur de son intimité. Elle entreprend un lent va-et-vient et sort parfois l’instrument afin de se caresser le clitoris. J’ai l’impression que la manipulation d’un tel objet ne lui est pas étrangère contrairement a ce qu’elle m’a dit. Sa respiration commence à devenir haletante et ses yeux se ferment parfois. Elle sort alors l’engin et me dit tout de go : — J’arrête sinon ça va me faire trop de chose. Ou alors je vais te demander de prendre sa place. Encore une fois je ne réponds pas à sa proposition à peine déguisée et lui dit que j’ai un autre objet à lui faire essayer. Je sors alors les boules de geisha que j’avais conservées. Valérie à l’aire cette fois totalement surprise, ne connaissant à priori pas du tout cet objet ni son utilité. Devant sa perplexité, je lui montre bien l’objet et l’invite à lui montrer son utilisation. Pour ce faire, je m’accroupis devant elle. J’ai alors comme vision les jambes de ma belle sœur, ...
... totalement ouvertes, gainée de bas noir, et au milieu ce sexe glabre, légèrement ouvert et totalement humide. L’épisode précédent a laissé des traces d’excitation bien visible ! Je résiste à l’envie d’embrasser goulûment ces lèvres qui ne sont qu’à quelques centimètres de moi et me concentre sur ma tâche. Le chapelet est composé de trois boules de même diamètre, relié par une cordelette blanche. J’introduis délicatement la première boule. Les lèvres se sont ouvertes puis refermés sur celle-ci en émettant un bruit de succion des plus plaisant. Je vois maintenant son sexe fermé laissé échapper la cordelette. Je glisse alors la deuxième boule, elle rentre plus facilement que la première mais Valérie ne peut cette fois retenir un petit soupir. La dernière est littéralement avalée par ses entrailles, ce qui arrache un petit cri très aigu à Valérie. Ses lèvres suintent littéralement de cyprine et je ne peux m’empêcher de poser un baiser, si ce n’est chaste, du moins léger sur ses lèvres si accueillantes. Lorsque je me lève Valérie soupire en me disant : — C’est fini ?— Oui, maintenant, on peut y aller.— Je reste comme ça ? Tu me laisses dans cet état ?— Et ce n’est pas fini, rhabille toi et viens. A contrecœur, Valérie se lève et rajuste sa jupe : — Et je garde ce truc en moi ?— Oui, c’est ça qui est drôle, tu vas voir. Nous sortons de l’échoppe sans attirer un seul regard du patron. Le seul client restant nous a par contre lancé un regard lubrique plein d’envie. Ensuite, nous marchons ...