Un dernier verre
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
glaçon,
fouetfesse,
... point. C’est dommage pour lui, tu as raison… mais bon, c’est la vie ! Quelque temps après, on frappe à la porte et je vais ouvrir, c’est bien notre charmant garçon. Il doit avoir à peine vingt ans et n’est pas mal du tout. En tout cas, la bosse qui déforme son pantalon me laisse croire que, en effet, il s’est fait plein d’idées depuis son réveil. Bah ! Ça lui fera au moins un souvenir lorsqu’il se branlera tout à l’heure ! — Entrez, vous pouvez poser le plateau sur la table. Il s’avance en hésitant un peu et semble être déçu de voir Christèle sagement enveloppée dans sa serviette et assise dans le fauteuil. Il s’attendait à quoi ? À la trouver offerte à lui sur le lit, peut-être ? Ah là, là, ces jeunes… Il dépose le plateau et se retourne vers moi avec le papier à signer. Je m’exécute et lui fais comprendre qu’il peut y aller. Au passage, je lui glisse un billet dans la main et lui dis : — Merci, jeune homme, nous n’avons plus besoin de vous. Mais c’est dommage, j’en conviens. Le pauvre rougit jusqu’aux oreilles et bredouille un merci inintelligible avant de s’éclipser. — Je suis un peu méchant avec le pauvre garçon… mais c’était plus fort que moi ! Je débouche la bouteille et nous verse deux coupes. Tout en en tendant une à Christèle je continue : — Tu crois qu’il va aller se branler en pensant à tout ce qu’il vient de rater ?— Je ne sais pas, l’idée est séduisante et il y a des chances. Mais on est peut-être de gros dégueulasses qui voyons le vice partout, non ? me ...
... réponds-tu en riant.— Peut-être, mais on s’en fout. À la nôtre, mon cœur ! Nous trinquons et savourons le champagne en silence. En te regardant, je ne peux m’empêcher de te détailler et de ressentir de doux picotements dans mon bas-ventre, comme si la douche et le champagne avaient fait disparaître toute fatigue. Une idée me vient. — Viens, mon ange, lève-toi et pose ton verre. J’ai envie de te montrer ma reconnaissance pour tout à l’heure. Je te prends par la taille et t’embrasse doucement, tout en laissant mes mains glisser sur ta peau sous la serviette qui t’entoure. Délicatement, je la fais glisser à terre et te pousse vers le lit. — Allonge-toi et laisse-toi faire. Je t’interdis de faire quoi que ce soit de tes mains. Il n’y a que toi qui comptes, mais tu ne peux rien faire, d’accord ?— Oui, oui mon chéri. De toute façon, je suis trop fatiguée. Mais ton sourire coquin me dit tout le contraire, à moins que ce ne soit qu’une impression ? Debout devant toi, je commence par t’embrasser dans le cou, tout en massant doucement ta poitrine. Je sens déjà tes pointes qui durcissent d’attente et d’excitation, mais cette fois-ci il va falloir que tu attendes… Après, je te bascule doucement sur le lit où tu te retrouves étendue, les bras remontés derrière la tête et les cuisses écartées. Debout en face de toi, je laisse à mon tour tomber ma serviette et tu peux constater que ma queue est bien raide et dressée : j’ai envie de toi. Mais j’ai surtout envie de te faire languir longtemps… très ...