1. La vraie histoire du Chaperon Rouge (2)


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Episode du chasseur et de ses amis (en attendant toujours le loup) A presque vingt ans le chaperon rouge était toujours innocente. Son vieil ami le chasseur lui fit découvrir le sexe masculin, puis s’apprêtait à lui faire découvrir celui féminin, le sien. Elle ne s’était jamais caressée, jamais masturbée, et ignorait tout du plaisir charnel. Elle était maintenant dans la cabane du chasseur, entièrement nue, et se prêtait à tout ce qu’il voulait tellement elle avait confiance en lui qu’elle connaissait depuis son plus jeune âge. La cabane était équipée pour qu’il y passe des journées et des nuits entières, et possédait entre autre un matelas. Il la fit s’allonger dessus, toute nue: — Ouvre bien tes cuisses ma chérie, et laisse moi faire, je vais lécher ton sexe comme tu as sucé le mien. Elle s’offrit sans discussion, il écarta sa toison pour dégager son clitoris, et se mit en devoir de le travailler, de sa bouche et de ses doigts. Il fit très vite éclore son bourgeon, le masturba, le lécha, le suça, l’aspira. La jeune femelle se tortillait devant cette sensation inconnue, jusqu’à jouir violemment. Elle avait à peine repris son souffle qu’un deuxième orgasme encore plus puissant la fit se cambrer et hurler de plaisir. Il faut dire qu’en même temps qu’il lui bouffait le bouton, il lui fouillait l’entrée de la chatte. Ses doigts n’allaient pas trop loin, se heurtant à son hymen, preuve de sa virginité. Il lui proposa de la dépuceler, lui promettant encore plus de bonheur. Sa ...
    ... confiance en lui était illimitée, et elle accepta après qu’il l’ait prévenue d’un risque de légère douleur et de quelques gouttes de sang naturelles. Il introduisit son gland entre ses lèvres mouillées, puis s’enfonça en douceur. Un petit cri, sans plus, au moment de la perforation, puis des soupirs, des gémissements, du plaisir. Il la limait tendrement, était à son écoute, lui fit connaître ses premiers et inoubliables émois. C’était bon de se faire une pucelle étroite, il était chaud, mais parvint quand même à ne pas perdre la tête au moment de jouir. Il se retira à temps pour éjaculer sur son ventre. Elle était ravi, nettoya sa queue pour le remercier, récupéra sa semence sur son corps pour la manger. Il la remercia à son tour et lui lécha le minou, nettoya toute trace de sa première fois. Elle se rhabilla et rentra chez elle. Le lendemain le chasseur avait apporté des ciseaux pour tailler les poils de sa vulve. Il ne voulait pas la raser pour ne pas irriter sa peau si douce, et une fois encore elle se soumit. Il coupa au plus ras, à peine un millimètre, puis lui demanda de se masturber devant lui. Elle s’exécuta et il la matait en se branlant lui aussi: — Oh salope, c’est bon de te voir faire, elle est belle ton huître, elle sent bon ta mouille, vas-y, vas-y, fais toi jouir petite putain. — Oui, je vais jouir, tu aimes ça vieux cochon, reluquer ma jeune chounette. Tu as raison, c’est bon de se regarder, j’aime moi aussi comme tu branles ta grosse queue. — Et que j’éjacule sur ...
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