1. La vraie histoire du Chaperon Rouge (2)


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... toi, ça te plairait? — Si tu veux chasseur, mais je préférerais dans la bouche, j’ai envie de ton sperme. — Pas de problème petite cochonne, je vais t’offrir mon jus et tu vas me donner le tien, on va se faire un bon 69. Elle ignorait ce que cela voulait dire, il lui expliqua, et elle lui demanda de se mettre en position sans tarder. Il la léchait comme un porc affamé, dévorait son vagin, son clitoris protubérant, gros comme une noisette, engloutissait ses orgasmes répétés, sa mouille abondante. De son côté elle le suçait goulûment, il faisait un effort pour se retenir, mais finit par succomber à son talent. Il déchargea de longues giclées épaisses et fournies qu’elle avala avec gourmandise. Ils se revirent les jours suivants pour ramasser des champignons le matin, et faire l’amour l’après midi, jusqu’au jour où elle eût ses règles. Il ne pouvait pas la pénétrer et ça leur manquait autant à lui qu’à elle. Il lui proposa alors de la sodomiser, lui expliqua ce que cela voulait dire, la prévint d’une douleur la première fois, puis d’un plaisir encore plus grand que ce qu’elle connaissait. Une fois encore elle accepta sans discuter, voulait lui faire plaisir. Il prépara son petit trou avec application, de sa langue et de ses doigts, puis plaqua son gland sur sa jeune rondelle encore vierge. Il lui recommanda une fois encore de faire un effort pour accepter la douleur, lui promettant beaucoup de plaisir ensuite. C’est ce qu’elle fit, et très vite elle se mit à jouir sans retenue: ...
    ... — Oh chasseur, c’est bon ta grosse queue dans mon cul, c’est bon comme tu me sodomises. Continue, continue, n’arrête pas, tu avais raison, c’est encore meilleur que dans ma chatte... — Salope, petite enculée, j’étais sûr que ça allait te plaire. Je vais te le défoncer ton putain de trou, je vais le remplir de foutre. Et si tu aurais préféré que je décharge dans ta bouche, rassure toi, tu vas pouvoir récupérer mon sperme et le bouffer. Il fit comme il dit et se répandit à flots entre ses reins. Il se retira, plaça une assiette sous elle et la fit s’accroupir au dessus. Son cul se vidait dedans en même temps qu’elle nettoyait sa queue avec sa salive. Elle lava bien son sexe de sa bouche, avala les dernières gouttes, puis bu le contenu de l’assiette et fit la vaisselle de sa langue. Ses règles durèrent quatre jours durant lesquels elle s’en prit plein le cul. Lorsque sa chatte fut à nouveau disponible, le chasseur la baisa à nouveau, mais ça ne suffisait pas. Elle en voulait plus, elle voulait sa queue dans tous ses trous, sa bouche, sa fente et surtout son fion. Le pauvre chasseur faisait le maximum, mais ne parvenait pas à l’assouvir. Il lui suggéra alors la participation d’un ami, et elle fut ravie de cette proposition. Elle se faisait alors baiser deux fois plus, mais ça ne changeait rien au problème: étant trois pour ramasser les champignons, ça allait plus vite et ça leur laissait plus de temps libre, trop de temps, et ils ne parvenaient à satisfaire ses besoins de plus en ...