1. La punition des exhibitionnistes


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... du sexe du flic. Comme un automate, et vu qu’il y a la place, je m’entends dire « et puis l’autre main…. » ce qui est une légère déformation de la réalité : sur la mienne y’a pas la place pour deux mains. Comprenant ce qui est en train de se passer dans ma tête, Elo se tourne vers moi et me souris. Elle adresse un petit baiser à ma queue en pleine érection, avant de se tourner et de mettre sa deuxième main sur la bite du flic. Celui-ci se cale alors dos contre la banquette, je suis le mouvement : « alors on s’est arrêté parce que je ne pouvais plus conduire… » « Et c’est là qu’elle s’est mise à genoux sur le siège passager ? » dit le chef que j’avais momentanément oublié. Me retournant vers lui, je m’aperçois qu’il a sorti sa bite de son falzar et se touche doucement devant le spectacle. « euh…oui, c’est ça, et elle…..m’a pris dans sa bouche ! » C’est bien moi qui ai dit ça ?? Alors Elo se met à genoux sur la banquette, la chatte sous le nez du chef, elle y passe d’ailleurs nerveusement sa main, comme pour se soulager d’une trop grande tension, et attrape la queue du flic qu’elle commence à laper consciencieusement, avant de l’engloutir, tout au moins la partie qu’elle peut. Le chef observe consciencieusement la chatte qui danse devant ses yeux et lance à son acolyte : « Ouvre la fenêtre Roger » Ce dernier, qui commence à perdre un peu pied avec la pipe d’Elo, comprend néanmoins le message et fait mine de déverrouiller la fenêtre côté conducteur : « dzzzzzz ». « Le problème ...
    ... avec ces inconscients d’exhibitionnistes, c’est qu’il ne se rendent pas compte du danger qu’ils encourent : ils ne savent pas sur qui ils peuvent tomber pendant leurs pratiques déviantes ». Il se lève alors et ni une ni deux il enfile Elo directement, bien au fond ! Surprise et jouissant d’excitation, celle-ci pousse un grand « oui !! » « imaginez ce qui peut se produire quand on fait ce que vous faites ainsi, vous pourriez vous faire violer, heureusement que les forces de l’ordre sont là ! », tout cela en étant bien au fond. « allez, répétez après moi : je/ne /dois/pas/sucer/mon/mari/sur/l’aire/de/repos » et à chaque mot un va et vient, et il revient taper au fond du sexe d’Elo. Alors Elo essaie de répéter, mais la grosse queue du flic l’en empêche : « ve/ne/goit/pa/fufer…. » et à au dernier mot elle jouit comme je ne l’ai jamais vu jouir : « repoooooooohhhhhhhhhh oui ! oui ! oui ! Le chef en profite pour lui claquer les fesses à coup de violentes gifles, une punition bien méritée…. « et encore là ce n’est rien dit-il : imaginez qu’ils soient plusieurs et que votre mari ne puisse vous défendre » me désignant toujours entravé avec du sperme qui coule en continu de ma bite surtendue : « Roger ! » Tel un manège bien réglé, le gendarme s’allonge par terre à mes pieds, embarquant Elo et l’installant à califourchon au-dessus de lui. Dans la manœuvre j’ai eu le temps de croiser son regard, que je ne reconnais pas : on dirait une bête, affairée à son seul plaisir, qu’importent les ...
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