1. Elle - La naissance d'une colombe


    Datte: 29/10/2019, Catégories: ff, jeunes, amour, volupté, massage, Oral

    ... attendait pour accélérer le rythme, aspirant, suçant, léchant, encore plus fort, augmentant la pression. Des gémissements, saccadés, emplissent la pièce, expression du plaisir. ELLE sent la jouissance la parcourir, vagues de chaleur successives enflammant ses sens. Ses muscles se bandent, son intimité, ses tétons et ses lèvres se gorgent de sang, rendant ses zones encore plus sensibles, plus érogènes, les spasmes arrivent, suivis de la jouissance, forte, grande, terrassant tout sur son passage, ne laissant plus qu’une femme repue, euphorique. *** Marie se retire, laissant ce corps alangui se reposer. Elle termine de se dévêtir, ôtant ses dessous, allant à la cuisine chercher deux verres et une bouteille de vin. De retour dans la chambre, elle contemple le spectacle qui s’offre à elle, savourant par avance la suite de leurs ébats. — Alors, ma douce, tu fais un petit somme ? Marie s’assoit sur le lit à côté de sa belle, lui déposant un baiser léger sur la joue. — Tu veux un peu de vin ?— Oui, pourquoi pas. ELLE se redresse et s’assied en tailleur face à son amante, offrant par la même occasion une vue parfaite sur son intimité. Le vin est bon, elles le dégustent sans échanger de paroles, se regardant, communiquant par de simples regards, communiant, étant en osmose parfaite. La boisson faisant effet, les esprits se font plus libres, plus vagabonds. ELLE décide de se blottir dans les bras de Marie, se love contre elle. Petit à petit la bouteille se vide, la griserie laisse ...
    ... place à la somnolence, la somnolence à un doux sommeil. Leurs visages sont radieux, souriant, en les observant on pourrait croire qu’elles continuent à communier. *** C’est la fraîcheur de la nuit qui réveille Marie. ELLE est toujours blottie, la tête contre ses seins. Lentement, pour ne pas la réveiller, elle se déplace et l’allonge, tirant le drap pour la couvrir. Ses mains se déplacent sur ce corps endormi, caressant ce ventre, effleurant ces seins, redescendant, longeant les cuisses, tantôt à l’extérieur, tantôt à l’intérieur, remontant vers cette intimité, cherchant du bout des doigts ces lèvres, grandes et petites. À leur contact, les jambes s’écartent, abandonnant ainsi son puits d’amour à l’assaut des conquérants. Ceux-ci ne se font pas prier et entament une lente exploration des lieux, investissant chaque sillon, chaque méandre, se rapprochant de plus en plus, à coup de petits doigtés de cette grotte déjà suintante de plaisir. La pénétration se fait donc dans la plus grande douceur, facilitée par l’état d’excitation. Le doigt entre et sort, tournant légèrement, chaque mouvement cherchant à provoquer le maximum de sensations. Un deuxième vient bientôt le rejoindre, augmentant la pression, allant plus rapidement, plus intensément. Toujours endormie, ELLE pousse de petits gémissements. La bouche ouverte, ELLE respire rapidement, cherchant de l’air pour ce cœur qui bat, bat, toujours plus rapidement. Frissons, tremblements, tension grandissante, Marie guette tous ces signes, ...
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