1. La brioche


    Datte: 24/06/2017, Catégories: fh, magasin, volupté, vengeance, pénétratio, fsodo, humour,

    ... coulissa dans sa totalité, arrachant à tous deux un gémissement rauque. Les molletons délicats des pubis se soudèrent. La puissance de l’étreinte provoqua le lent travail de la jouissance. L’orgasme progressa, d’abord à pas feutrés, puis imposa sa présence fulgurante. Étienne reprit possession de vagin d’Hélène. La déflagration parcourut celle-ci avec une force brutale. Elle déforma sa perception de la réalité, la fit chavirer au-delà de ses rêves. Étienne tenta avec l’énergie du désespoir de retenir le flux qui s’annonçait. Elle le sentit, ayant repris ses esprits. Elle le retira d’elle, descendit de la table. Debout à côté de lui, elle s’empara d’une main de la verge au bord de l’agonie. Elle fit de son autre main un réceptacle pour la semence qui ne tarda pas à bondir sous les va-et-vient de son poing serré. Les cris d’Étienne qui accompagnèrent la scène témoignèrent en faveur de son habileté et de son amour. La conque se remplit du liquide chaud et abondant. Elle en retira jusqu’à la dernière goutte. Ils haletaient à l’unisson. Tournant son visage vers le sien, elle l’embrassa avec une ardeur profonde, interminable, le précieux suc toujours au creux de sa main. Avisant ce qu’elle devina être la préparation pour une brioche, elle y enfonça son pouce libre, formant comme un petit cratère. Elle y déposa le sperme tiède avant de refermer précautionneusement la pâte. Puis elle glissa le tout dans le four, sous le regard interrogateur de son homme. Elle l’embrassa. « ...
    ... Laisse-moi faire… » Elle enfourna ensuite l’autre pâte sur laquelle ses seins avaient laissé une empreinte sans équivoque. Hélène releva le rideau de fer de la devanture de la boulangerie vers huit heures, comme à son habitude. Le petit village commençait à peine à s’éveiller. Étienne était monté se recoucher après sa nuit dans le fournil. Elle avait remonté la première fournée de pain et de viennoiseries juste avant d’ouvrir. Ce matin-là, son visage rayonnait encore plus que les autres jours. Elle portait sa blouse bleu pâle. Dessous, elle s’était contentée d’une jupe affriolante sur ses bas de soie noire préférés. Les trois boutons ouverts sur le haut de la blouse laissaient deviner la naissance de ses seins. Devant le grand miroir de la boutique, elle s’ajusta et s’assura de l’effet désiré. Depuis plusieurs mois, une sale rumeur, insidieuse et mauvaise, s’était répandue à leur sujet. Elle n’avait que faire des considérations mesquines d’un noyau de frustrés qui empoisonnaient de leurs persiflages la vie de cette petite communauté villageoise. Cependant, elle avait mûri, avec un peu de malice il faut le dire, une petite vengeance. Après une petite enquête aussi discrète que minutieuse, elle avait enfin réussi à connaître l’identité de l’individu à l’origine de ces saletés. Ou il aurait fallu plutôt dire « celle » qui était à l’origine de cela, car il s’agissait bien d’une femme. Et ce matin, elle l’attendait de pied ferme. Les premiers clients – principalement des hommes - qui ...