Promotion canapé
Datte: 31/10/2019,
Catégories:
fhh,
hbi,
hagé,
Collègues / Travail
pénétratio,
double,
hsodo,
champagne,
J’ai commencé ma carrière dans une compagnie d’assurances où je travaille encore. J’étais une secrétaire ambitieuse et irréprochable depuis une dizaine d’années et je travaillais directement sous les ordres de la secrétaire de direction. Celle-ci Christiane, avait été promue deux ou trois ans auparavant et déjà à l’époque, je pensais avoir le poste qu’elle avait obtenu alors qu’elle n’était pas meilleure que moi. C’était une femme élégante, brune, avec une belle poitrine. Elle portait toujours des tailleurs assez stricts. Elle avait beaucoup de classe et était toujours souriante. Mais je n’étais pas mal du tout dans un autre style. Lorsque cette Christiane démissionna pour partir en province où son mari avait été muté, le poste redevenait vacant et je me disais que c’était l’occasion d’obtenir ce poste si convoité. Mais je n’étais pas la seule sur les rangs et je voyais bien quelques jeunes collègues qui tentaient de pousser leurs avantages. Un soir, ou plutôt une fin d’après-midi, alors que le directeur était encore dans son bureau et que j’étais seule dans le secrétariat, je pris mon courage à deux mains. Je traversais le bureau de la secrétaire de direction, ce bureau que je rêvais d’occuper, et j’allais toquer à la porte du directeur. — Entrez Je respirais à fond et j’entrais — Bonsoir, Monsieur le directeur.— Bonsoir Christelle. Vous vouliez me voir ? À cette époque le directeur de la société était M. Livert. C’était un homme de cinquante-cinq ans, assez enrobé, avec ...
... une calvitie prononcée. Il était très soigné de sa personne, toujours vêtu de costumes impeccables. Il émanait de lui une autorité naturelle dont il avait conscience et dont il usait avec talent. Toujours est-il que prenant mon courage à deux mains je me jetai à l’eau : — Voilà, Monsieur le directeur, je sais que Christiane a démissionné pour suivre son mari et que son poste est libre et… Il m’interrompit — Et ce poste vous intéresse dit-il en souriant— Oui, Monsieur le directeur. Je travaille depuis longtemps dans la société, j’ai même remplacé Christiane lors d’un congé maladie. Je crois qu’avec votre aide je pourrais m’acquitter des responsabilités liées à ce poste.— Sans doute Christelle, votre travail est apprécié à sa juste valeur, vous le savez, mais un poste de secrétaire de direction impose d’autres compétences, vous vous en doutez. Tout d’abord, il implique une certaine discrétion et une grande disponibilité. Et, ajouta-t-il en souriant, il faut supporter une certaine intimité avec moi puisque vous serez plus souvent moi, et les autres membres de la direction qu’avec vos collègues du secrétariat… J’ai senti qu’il fallait défendre ma candidature : — J’en ai conscience, Monsieur le directeur. Vous connaissez ma disponibilité, puisque je n’ai jamais rechigné à rester le soir pour boucler des dossiers lorsque c’était nécessaire. Quant à la discrétion, je suppose que je n’ai pas besoin d’argumenter : vous ne m’avez jamais entendu, ni vous ni personne, raconter ma vie, ou ...