1. Promotion canapé


    Datte: 31/10/2019, Catégories: fhh, hbi, hagé, Collègues / Travail pénétratio, double, hsodo, champagne,

    ... partirent et j’inventais un dossier important pour justifier que je reste après l’heure. J’attendais, ne sachant trop quelle attitude adopter. Attendre, frapper à la porte ? J’hésitais quand M. Imbert arriva. Son surnom était « le Héron » dans l’entreprise car il était assez grand, dégarni et maigre. Un échalas… — Bonsoir Christelle— Bonsoir M. Imbert— Nous avons rendez-vous avec M. Livert me semble-t-il.— C’est exact, M. Imbert, mais il ne m’a pas précisé d’heure. Il ouvrit la porte du secrétariat de direction et alla frapper à la porte du directeur — Oui entrez… Ah Imbert. Parfait je suis à vous. Voulez-vous faire venir Mlle Christelle ? Je me levais et rejoignis Imbert. Ensemble nous entrâmes dans le bureau de Livert et Imbert referma la porte. — Imbert, cher ami, je vous ai mandé car je souhaite que vous entériniez une décision. Vous savez que Christiane nous quitte. Elle nous manquera. Je souhaite que Mlle Christelle prenne sa place— Bien M. Livert, mais fera-t-elle l’affaire ? C’est un poste délicat.— Vous avez raison, mais elle me semble avoir les qualités nécessaires.— Lui auriez-vous fait passer un test ?— Exactement. Et elle s’en est très bien sortie— Vraiment ? Je sentais dans son ton de l’incrédulité ? M. Livert eut probablement le même sentiment car il sourit et dit à Mr Imbert — Je suis sûr que Christelle peut réussir un nouveau test… Et il fit comme la veille, il fit reculer son fauteuil et ouvrit sa braguette. Il sortit son sexe et attendit. J’avais de ...
    ... nouveau le rouge aux joues. Il voulait que je recommence, je pouvais m’en douter, mais devant Mr Imbert… J’eus un moment de désespoir qui ne dura que quelques secondes car je réagis au défi : ils me prenaient pour une oie blanche… Ils allaient voir. J’avançais vers Livert et comme la veille, je m’agenouillais et sans préliminaires, je pris sa verge dans ma bouche et commençais à le pomper. Je me sentais humiliée et j’avais les larmes aux yeux. Je me raccrochais à l’idée de ce poste et je pensais à mon mari qui serait si fier de moi si je décrochais ce poste… J’essayais d’imaginer que c’était à lui que je prodiguais cette fellation. Que c’était lui qui bandait dans ma bouche. Je voyais apparaître de temps en temps, dans mon champ de vision restreint, M. Imbert qui tournait autour de nous et qui n’était pas avare de commentaires — Eh bien, en voilà une sacrée suceuse. Elle y met de la bonne volonté. N’est pas mon cher Philippe ? M. Livert ne répondait rien, tout à son plaisir de savourer cette pipe magistrale. Mais M. Imbert n’attendait pas de réponse. — Oh la petite cochonne… Ce doit être une affaire. Il s’approcha de nous et je sentis sa main se faufiler sous ma jupe qu’il releva. — Mais quel cul, s’écria-t-il quel cul !!! Il ne mérite pas d’être couvert par une culotte. Je sentis qu’il tirait ma culotte vers le bas. Comment faire pour l’en empêcher. Je devais continuer ma fellation puisque M. Livert ne disait rien. L’autre ne tarda pas à faire descendre la culotte jusqu’à mes ...
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