1. Chrisss en Guadeloupe


    Datte: 01/11/2019, Catégories: fhh, fplusag, vacances, plage, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe occasion,

    ... doute tout à l’heure.— Christine, me dit Marc, d’où viens-tu en France ?— Je vis dans le midi entre Avignon et Marseille, près d’Aix— Et qu’est-ce que tu fais dans la vie ?— Je travaille à la poste.— Et tu es mariée ?— Non, je suis divorcée, mais j’ai un chéri avec qui je vis.— Et tu l’as laissé tout seul ? Tu as confiance en lui ?— Bien sûr que j’ai confiance en lui, et lui en moi. Nous sommes très complices et nous nous disons tout.— Tu lui as dit que tu venais faire un tour en mer avec nous ?— Bien sûr, il est content pour moi, il sait que ce soir je lui raconterai ma journée. Marc et Didier se regardent, ils aimeraient en savoir plus visiblement, mais ils n’osent pas s’avancer plus. — Zut, je leur dis, j’ai oublié de prendre mon appareil photo.— Ce n’est pas grave dit Didier, j’ai le mien, je vous prendrai en photo tout à l’heure. Je pense à mon Amour, il aimerait, j’en suis certaine, faire une séance avec mes deux matelots, hélas il est à 5 000 km. — Vous faites beaucoup de photos demande Marc ?— Moi non, mais mon Chéri, il s’appelle Roger mon Chéri, donc Roger adore me prendre en photo.— Plutôt que de toujours parler, lance Didier à son frère, tu devrais nous servir à boire. Prestement Marc descend dans la cabine et remonte avec une bouteille de champagne et trois coupes. — Nous ouvrons toujours une bouteille quand nous avons une nouvelle invitée.— Je comprends votre ami, reprend Marc, vous être ravissante, il doit faire de magnifiques photos de vous.— Effectivement, ...
    ... il sait me rendre plus belle qu’au naturel.— Ça, ce n’est pas possible rétorque Didier, en me regardant d’un œil brillant. Tout d’un coup son regard me surprend, je regarde Marc, ce doit être le champagne, il a le même petit éclat dans les yeux. Je ne sais que leur sourire en rectifiant ma tenue,« tiens-toi droite » m’aurait dit Roger. Je me tiens droite, faisant ressortir ma poitrine. Il commence à faire chaud, je veux enlever mon chemisier, mais une petite vague de travers me déséquilibre et je manque de tomber. Marc me rattrape au vol. Je suis dans ses bras. — Il faut toujours avoir une main qui s’accroche à quelque chose. Qu’est-ce que tu voulais faire ?— Juste enlever mon chemisier.— Ne bouge pas. Et passant ses mains autour de moi, Marc défait le nœud qui tient les pans du vêtement. Il prend son temps, simulant visiblement une difficulté inexistante. Je sens son buste chaud dans mon dos, ses bras autour de moi, ce contact me trouble, imperceptiblement je m’appuie contre lui, mais trop tard, le nœud est défait. Je suis bien sur ce voilier qui glisse sur l’eau, une douce brise me caresse la peau, le soleil est chaud. Du coin de l’œil je regarde mes deux marins, je suis quand même troublée. Je me laisserais bien faire par l’un ou l’autre. Ils dégagent une impression de force et de douceur, les traits réguliers, un regard bleu qui vous transperce, un petit sourire craquant, des mains que j’imagine glisser sur mon corps. Je rêve ou je fantasme. J’aimerais que cette croisière ...
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