1. Chrisss en Guadeloupe


    Datte: 01/11/2019, Catégories: fhh, fplusag, vacances, plage, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe occasion,

    ... ne se termine jamais. — Merci. Nous sommes encore loin ?— Non, regarde, c’est là, tu vois la petite plage ? On s’arrête, on prend l’annexe, c’est le petit canot qui est là, et nous y allons.— Au fait, tu sais nager ? me demande Didier.— Je me baigne où j’ai pied mais plus loin j’ai peur.— Tu vas voir, l’eau est chaude et transparente, c’est un délice. Après quelques instants dans le canot pneumatique, nous arrivons sur la plage. Pas une maison, pas une route, des rochers comme pour nous protéger du monde. Didier porte deux paniers avec le pique-nique et des serviettes et installe le tout méticuleusement ; et ayant fini, vient vers moi, me prend par la main et me tire dans l’eau. J’ai juste eu le temps d’enlever ma jupe. L’eau est délicieuse, j’y rentre sans sensation de froid. Marc nous rejoint dans de grands jaillissements d’eau, nous arrosant au passage. Les deux frères s’éclaboussent dans de grands éclats de rires, puis se tournant vers moi, me prennent pour cible. J’essaie de me défendre mais la lutte est inégale. — Arrête, dit Marc à son frère, on va plutôt donner une leçon de natation à Christine, ce sera plus intelligent. J’ai de l’eau jusqu’à la poitrine. Marc s’approche et me tend la main. — L’important, c’est de ne pas avoir peur, tu vas voir. Allonge-toi dans l’eau. J’obéis et tente de m’allonger, mais ça bouge et je ne suis pas rassurée. Didier s’approche à 2 m et me dit : — Essaie de venir jusqu’à moi. Marc, aide-la. Marc pose sa main sous mon ventre et me ...
    ... maintient pendant que je fais les mouvements vers Didier. J’attrape Didier par le cou. — Tu ne crains rien Christine, regarde, tu as pied. Allez, la même chose vers Marc. Maintenant c’est Didier qui pose sa main sous mon ventre pour me soutenir. Et je me dirige vers son frère. Au bout de quelques minutes, j’arrive à faire quelques brasses, mais je fatigue et surtout, je ne me suis pas rendu compte que nous nous sommes avancés vers le large et que je n’ai plus pied. — Encore un dernier coup, me dit Didier en me dirigeant vers Marc. Je n’en peux plus. Arrivée à Marc, je m’accroche à lui comme une noyée à sa bouée. — Je suis épuisée, que je lui souffle.— On arrête, lance-t-il à Didier qui se rapproche. J’ai passé mes jambes autour de la taille de Marc, les bras toujours autour de son cou, ma poitrine contre son buste, je récupère ma respiration. — Merci pour la leçon, merci Marc. J’avance la tête pour l’embrasser sur la joue, mais à ce moment il tourne la tête et ma bouche rencontre ses lèvres. — Excuse-moi, mais tu as tourné la tête au mauvais moment.— Ne t’excuse surtout pas, c’est délicieux un baiser de toi, d’ailleurs je n’ai pas bien eu le temps de goûter, embrasse-moi encore. Je le regarde dans les yeux, je suis dans ses bras ; en fait, il a les mains sous mes fesses pour me tenir, je sens contre mon ventre son sexe raidi. Alors, n’écoutant que mon envie, je prends sa tête entre mes mains, pose délicatement ma bouche contre sa bouche, ses lèvres s’entrouvrent, sa langue vient ...
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