1. LA FEMME VOILEE


    Datte: 01/11/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore,

    Dans la société de bâtiment et de promotion immobilière que je gère, j’ai souvent besoin des compétences de juristes pour élaborer et suivre la bonne exécution des contrats. Je ne m’occupe personnellement que du recrutement des dirigeants de la société. Pour tout le reste du personnel, je fais confiance à mon assistante qui a toujours eu le nez creux pour dénicher la personne idoine pour un poste donné. Si bien qu’en dehors des principaux cadres avec lesquels je travaille directement, je ne connais pas personnellement la totalité des personnes employées par ma société.Quand j’ai eu besoin d’éplucher un important contrat de travaux qui m’avait été soumis par un client, j’avais demandé à mon assistante de m’envoyer le juriste qu’emploie l’entreprise et je lui ai donné instruction pour qu’on ne nous dérange pas. A ma grande surprise, le juriste qu’elle m’a envoyé était « une » juriste. Qui plus est, portait la tenue islamique, c'est-à-dire qu’elle était couverte de la tête au pied par une tenue qui ne laissait voir que son visage et ses mains. J’avais du mal à cacher mon étonnement en la voyant. J’avais jeté un regard interrogateur et furieux à mon assistante qui s’est contentée de me renvoyer un sourire moqueur en me la présentant : « madame X. Farida, notre nouvelle responsable du service juridique ». Elle referma derrière elle, en gardant sur les lèvres son sourire moqueur. Je me promettais de lui dire un mot à propos de ses recrutements, après la séance de travail ; si ...
    ... séance de travail, il y a.Je fis donc contre mauvaise fortune bon cœur et invitai la dame à s’asseoir sur l’un des fauteuils qui entouraient une table basse dans un coin du bureau, lui demandai de lire le contrat en question et de me donner rapidement ses premières impressions. Entre-temps, je vaquais à mes occupations normales qui étaient d’étudier les dossiers en instance, à demander des explications par téléphone, le plus souvent à mon assistante dans le bureau à côté et à signer des chèques. Au bout d’une demi-heure, je me levai de mon bureau et allai occuper le fauteuil qui faisait face à la juriste. Elle ne semblait pas avoir remarqué ma présence ; ce qui me laissa tout le loisir de l’observer tranquillement (un peu comme une curiosité). Elle était complètement absorbée par la lecture du contrat ; de temps en temps, elle notait quelque chose sur le bloc notes qu’elle avait amené avec elle. Elle portait une gandourah totalement noire, faite d’un tissu léger, avec des motifs brodés en gris clair autour du col, sur le bout des manches et sur le bas de la tenue. Sa tête était recouverte par un foulard de couleur noir, lui aussi (mais d’un autre ton que sa robe) et lui aussi brodé de gris. N’était la qualité évidente du tissu et la coupe droite de la tenue (pas évasée, comme la plupart des tenues islamiques qui interdisent de donner, même en surimpression, une idée des rondeurs des femmes qui les portent), le spectacle donné aurait été d’une grande tristesse.A mon grand ...
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