1. LA FEMME VOILEE


    Datte: 01/11/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore,

    ... elle.Farida était entrain de me devenir sympathique. J’attendis donc avec impatience, qu’elle revienne dans mon bureau avec le travail que je lui avais demandé. Elle arriva vers 16 heures avec un dossier sous le bras. Quand elle pénétra dans le bureau, j’ai pu la contempler en entier. Elle avait, bien sûr toujours sa fameuses tenue, mais en marchant on pouvait deviner plein de choses, toutes plus coquines les unes que les autres. D’abord elle était relativement grande (au moins 1.75 mètre) et bien proportionnée, d’après que je pouvais deviner aux rondeurs qui apparaissaient furtivement à chacun de ses pas. Sa grande gandourah noire ne pouvait pas cacher le dessin de ses épaules rondes, ni l’imposante poitrine qui pointait fièrement vers l’avant, ni la largeur de ses hanches, ni la longueur de ses jambes, ni la rondeur de son fessier. Ni même m’empêcher d’imaginer le jardin d’Eden qui se cachait sous la rigueur de la tenue.Elle semblait fatiguée par l’effort qu’elle avait dû fournir pour rendre sa copie dans les délais. Mais elle avait un sourire triomphant sur les lèvres ; ses yeux aussi continuaient d’avoir cet air coquin que j’avais remarqué dans la matinée.- Alors ! » lui dis-je d’une voix que je voulais ferme, pour ne pas montrer mon émoi. Quelles bonnes nouvelles, m’apportez-vous ?- Tout va très bien, Monsieur. C’est un très bon contrat pour nous. Avec les quelques corrections que j’y ai apportées, nous sommes très bien protégés. Vous pouvez le signer les yeux ...
    ... fermés.- Très bien, vous voyez avec Soraya pour en faire la frappe définitive, tirer le nombre d’exemplaires suffisants et me l’apporter pour la signature. Cela ne vous gène pas, j’espère, de rester au bureau jusqu’à ce que tout soit terminé. J’en ai besoin pour demain matin, au plus tard.Elle ne fut pas étonnée d’apprendre qu’elle devait rester au bureau bien au-delà des heures normales de travail. C’est comme si elle avait été briefée sur ce point par quelqu’un qui me connaissait bien (Soraya, bien sûr !). En fait, c’était bien de cela qu’il s’agissait : je voulais la garder près de moi, pendant que mon assistante faisait le travail de frappe et de tirage du contrat. Farida avait corrigé la copie initiale, de manière à ce que n’importe quelle secrétaire puisse en assurer la frappe sans aucun problème.- Bien sûr monsieur ! dit-elle de cette voix toujours aussi assurée.J’appelais Soraya pour lui expliquer ce qu’il y avait lieu de faire (comme si elle ne le savait pas !) et lui dit de nous servir quelque chose à boire en attendant qu’elle ait terminé. Soraya me regarda avec son sourire moqueur, me fit une œillade et roula des hanches en quittant le bureau (manière qui lui est propre pour me dire qu’elle n’était pas dupe et qu’elle était même complice). Elle revint dix minutes après avec un plateau sur lequel elle avait disposé deux verres vides, deux tasses avec un sachet de thé chacune, une théière pleine d’eau bouillante, des serviettes, des gâteaux secs et un grand pack de jus ...
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