1. LA FEMME VOILEE


    Datte: 01/11/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore,

    ... un homme ! Tu dois me prendre pour une perverse ! dit-elle en baissant hypocritement les yeux. Tu sais je n’ai pas prémédité de me masturber devant toi ! C’est arrivé comme cela ! En fait cela a toujours été un de mes fantasmes cachés : me caresser en sachant qu’un homme me regarde ! Pour moi c’est le pied ! Tu ne m’en veux pas n’est-ce pas ? Je sais que toi tu comprends ces choses là !- Oui je comprends très bien ! Je comprends tellement que je vais te faire quelque chose que je ne suis pas sûr que tu apprécieras : je vais te sodomiser ! Ton cul m’attire comme un aimant ! Je vois d’ici la rondelle de ton anus ! Elle me semble bien serrée ! Je vais te la défoncer !Joignant le geste à la parole je lui fis lever les genoux très haut, les posant sur sa poitrine de part et d’autre de ses seins. Elle ne protesta pas, ne résista pas. J’avais moi-même enlevé mes habits et étais resté tout nu ; le membre déployé en avant comme un étendard. Je bandais comme un âne à la vue de tous ces appâts étalés devant moi. Mon engin avait atteint une taille énorme à force d’excitation. Je voulus la pénétrer, lui défoncer le cul sans plus attendre. Je me plaçais entre ses cuisses et plongeai mon gourdin dans son vagin pour le mouiller ; elle eut un petit cri de satisfaction quand il entra dans son vagin et un autre de déception quand il ressortit pour aller titiller l’anneau serré de son anus. J’appuyai légèrement pour tester sa résistance ; il ne laissa pas entrer l’engin. Je refis la manœuvre de ...
    ... le lubrifier avec le liquide de son vagin et une fois encore, je sentis qu’elle voulait que je la baise comme cela, par devant. Mais moi, j’étais obnubilé par son cul, que je voulais absolument éclater. Je repositionnais le gland à l’entrée de son anus et cette fois-ci j’effectuais une pression plus forte, qui fit s’ouvrir l’anneau et laissa pénétrer le gland dans le cul. Elle poussa un cri de douleur, mais ne fit aucun geste, ni ne dit aucun mot, qui m’auraient poussé à abandonner.Je lui en fus reconnaissant. J’appuyai encore plus fort jusqu’à ce que tout mon engin entrât dans les boyaux de ma belle. Elle souffrait, j’en étais conscient ; mais le désir était tellement fort et son cul tellement accueillant, que je n’y prêtais aucune attention. Je continuai avec précaution le mouvement de va et vient ; je voulais d’abord lubrifier le canal pour que le mouvement se fasse sans douleur et, peut être y prendra-t-elle elle aussi du plaisir. Au bout de trois allers-retours précautionneux, je me mis à l’enculer avec force et sans retenue. Le plaisir que j’y prenais était tellement visible, qu’elle me fit un sourire pour me dire de continuer, bien qu’elle ne ressentait, pour le moment, rien d’autre que de la douleur. Tout en continuant à l’enculer comme une bête, je lui pris sa main et la posa sur sa chatte, lui demandant de se caresser. L’idée sembla lui plaire et elle se mit à se masturber comme tout à l’heure avec trois doigts qui rentraient et sortaient de sa chatte au rythme de ...