1. La bourgeoise et le marabout (5)


    Datte: 01/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Les jours passent, pas assez vite pour moi. Au bout de cinq jours, je n’ai toujours pas de nouvelles de Monsieur Coulibadou. De plus, mon mari est un peu débordé dans sa société, il rentre tard, trop fatigué pour m’accorder la moindre attention intime. Le samedi, je me décide donc à brusquer un peu les choses avec lui. — Chéri, ton travail t’épuise et tu dois absolument te changer les idées. Cela fait déjà presque deux mois que nous ne sommes pas allés danser, allons cet après-midi au Chalet du Lac à Vincennes Depuis déjà de nombreuses années, nous aimons aller danser dans les guinguettes du bord de Marne ou dans les dancings de la capitale, même s’il y en a de moins en moins et bien que la clientèle y soit d’un certain âge. — Tu as raison, me dit-il. Cela va nous faire du bien, préparons-nous vite et allons-y ! Tandis qu’il s’habille pour la circonstance dans la chambre, je m’isole dans mon dressing et choisis avec soin mes dessous et vêtements. J’ai envie de le surprendre. Il est à peine 15h00 lorsque nous arrivons en voiture à destination. Nous laissons le soin au voiturier de ranger notre véhicule et nous dirigeons vers le vestiaire après que François, mon époux, ait réglé les deux entrées. Nous confions nos manteaux à l’hôtesse puis nous nous dirigeons vers la salle de danse pour nous installer à deux places situées près de la piste. Mon mari me dit — Tu es en beauté ma chérie, j’adore cette petite robe noire qui te colle si bien à la peau Je lui souris en pensant en ...
    ... moi-même qu’il appréciera certainement ma lingerie. Après un petit tango bien serré, qui permet à François de bien se coller à moi, nous voilà entraînés dans un paso-doble bien rythmé. Mon mari, qui apprécie particulièrement ce type de danse, me fait tourner, tournoyer et virevolter tel un torero jouant avec sa muleta devant un taureau. Bien vite, il se rend compte que ma robe est suffisamment ample pour bien se soulever à chaque pirouette qu’il me fait faire, dévoilant ainsi le haut de mes jambes parées de fins bas noirs retenus par les larges jarretières du porte-jarretelles acheté chez monsieur Robert sur les prescriptions de mon marabout. Une fois revenus nous asseoir à notre table, il me dit — Tu es superbe avec cette lingerie. Tous les hommes n’en avaient que pour toi. Puis, posant sa main sur ma cuisse la plus proche de lui, il remonte entre mes jambes, me force à bien ouvrir les cuisses et devine sous ses doigts le string fendu qui a déjà fait son bonheur. — Je me suis apprêtée pour toi en pensant que tu saurais apprécier ces nouveautés recommandées par ma sexologue, lui dis-je tandis que sa main se fait plus vagabonde. — J’y suis très sensible et tu as relevé que je ne suis pas le seul. Cela est très excitant, me dit-il avant d’ajouter qu’il aimerait bien me voir danser avec un autre homme. Après quelques danses variées au cours desquelles il n’a pas cessé de me caresser de ses mains vagabondes pour apprécier mon porte-jarretelles ainsi que mon soutien-gorge à demi ...
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