1. La bourgeoise et le marabout (5)


    Datte: 01/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... balcons qui remontent bien mes seins, il me dit qu’il s’absente quelques minutes pour aller chercher deux coupes de champagne. A peine suis-je revenue seule à notre table, qu’un homme d’un certain âge vient m’inviter pour un slow langoureux. J’accepte son invitation pour répondre ainsi aux attentes de François. Très vite, mon cavalier me serre bien contre lui et tandis qu’il me guide d’une main au son de la musique, l’autre main me caresse le dos, descend un peu plus bas vers mes fesses et se fait un peu plus pressante. — J’adore ce que vous portez, me dit-il en accentuant la pression de sa main sur mon porte-jarretelles que l’on devine bien serré autour ma taille. Puis il ajoute — Votre mari doit être un homme comblé D’une voix très sensuelle, ma bouche bien collée à son oreille, je lui réponds — Il ne me l’a jamais confirmé mais il sait parfois bien me le prouver Tandis que sa main me flatte ostensiblement la croupe, je peux deviner son sexe tendu bien collé contre mon bas-ventre. Je m’aperçois alors que mon mari nous regarde et il me fait un grand sourire. Une fois revenue près de François et assise près de lui, il me dit en souriant — Ton cavalier ne s’est pas gêné pour profiter de la situation En me rapprochant de lui, je lui réponds — Je croyais que tu voulais que je joue le jeu alors je l’ai laissé faire, dans la limite de la décence bien sûr — Tu as bien fait, c’est ce que je voulais. Sentir un autre homme te désirer et te voir céder à ses envies, poursuit-il avant ...
    ... que je ne lui rétorque : — Céder, en partie seulement ! Je ne suis pas ce genre de femme et je t’aime bien trop pour en donner plus. Sa réponse résonne encore dans ma tête — Cela n’a rien à voir avec l’amour chérie. Ce n’est qu’une affaire de sexe entre adultes consentants. A peine sommes-nous rentrés à la maison que mon mari m’entraîne rapidement dans le salon. Il lance une musique langoureuse sur la chaîne stéréo et m’invite à danser. Très vite, ses mains descendent sur mes fesses tandis que sa bouche vorace s’empare de la mienne. Il me plaque contre lui, remonte ma robe au-dessus de mes fesses puis, d’un mouvement rapide, me fait pivoter d’un demi-tour et agenouiller contre un pouf en cuir. — Je suis certain que ton cavalier aurait apprécié te trousser ainsi et te prendre à la hussarde dans un recoin sombre du dancing, me dit-il en glissant son gland par la fente du string. Puis, pendant une bonne dizaine de minutes, il me besogne sans rien dire tout en me caressant les seins et les cuisses, en jouant avec les jarretières et en ressortant bien sa queue pour mieux la glisser de nouveau en moi à travers l’orifice de mon string bien trempé de ma mouille. Puis, dans un long râle, me tenant fermement par les hanches et son pubis plaqué contre mes fesses, il se déverse en moi en me traitant de bourgeoise dévergondée et de petite salope lubrique. Pendant les jours qui suivirent, aucune allusion ne fut faite à cette scène. Bien qu’apaisée, mon marabout me manquait. Trois jours plus ...