1. Ah, les délicieuses vacances !


    Datte: 02/11/2019, Catégories: f, fffh, jeunes, freresoeur, fépilée, vacances, bateau, Masturbation facial, Oral 69, préservati, fsodo,

    ... passais beaucoup de temps avec les « Quatre ». La petite vie du bateau s’organisait. Même les tours dans la salle d’eau se déroulaient sans encombre (difficile avec autant de filles, non ???), et je voyais sortir ces demoiselles à moitié nues. Un vrai bonheur de les voir se balader en sous-vêtements pour regagner leurs cabines… Difficile parfois de cacher mon érection sous un boxer décidément trop petit, et la jolie Marie ne s’était pas privée de me le faire remarquer. Le rapprochement se faisait en douceur, avec de plus en plus de sous-entendus et de gestes coquins, et tout allait déraper… Un matin alors que tout le monde se réveillait, décision fut prise de ne pas prendre la mer à cause d’une houle bien trop forte pour sortir sans risque. Les monos avaient donc proposé, à ceux que cela intéressait, d’aller se balader à pied dans les environs. La pluie et la fatigue avaient eu raison des deux sœurs, de Sylvia et de moi même. Retour à la case dodo. Après une heure ou deux, la pluie avait cessé et lorsque je sortis de ma torpeur, je décidai d’aller voir la jolie Marie dans sa cabine. Elle était réveillée et se tenait debout, la moitié du corps sortant par la « hublot de toit » pour regarder le paysage et la mer. Juliette dormait à poing fermé. Je décidai alors d’entrer dans la cabine afin de soulager mon érection matinale. Marie portait juste un tee-shirt en guise de pyjama, et ne semblait rien porter en dessous. Elle m’entendit m’approcher mais fit comme si de rien n’était. ...
    ... Une fois près d’elle je commençai à lui caresser les jambes, elles étaient douces et fines, musclées mais sans excès, pour ainsi dire : parfaites. Un peu ragaillardi, j’entrepris de remonter jusqu’à ses fesses. Marie ne disait rien, toujours en train de fixer l’horizon. Ses fesses étaient elles aussi très douces, bien galbées, je commençais à les embrasser, à les sucer, les lécher. Mes mains se faisaient de plus en plus précises, lui caressant le sexe, totalement épilé, tout comme son petit trou. Je sentais le plaisir monter en elle. Son corps bougeait sous mes caresses et son sexe s’humidifiait très rapidement. Sans attendre, je glissai ma langue entre ses fesses afin de lui lécher l’anus. Sa seule réponse fut de se cambrer vers l’arrière afin de me faciliter la tâche. Ma langue allait et venait autour de sa rosette, se faisait de plus en plus insistante, jusqu’à ce qu’elle glisse à l’intérieur. Je la sodomisais avec ma langue et ses râles montraient à quel point elle aimait ça. Elle disait « encore » de façon presque inaudible pour que sa sœur ne nous entende pas ; c’était raté. Alors que je tournai la tête pour voir si Juliette n’avait pas été réveillée, je me rendis compte que non seulement elle était réveillée, mais qu’en plus elle était en train de se caresser sous sa culotte. Prise sur le faite, elle stoppa net quand je me retournai. C’est alors que je lui dis : — Continue, tu es très belle quand tu te caresses. Et joignant le geste à la parole, je pris ses doigt plein ...