De Papillon De Nuit à soumise (8)
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... faire... — Si tu ne veux pas une bonne gifle pour te balader à poil dans ma cuisine, je te conseille de te tenir bien sagement. Compris ? — Oui, mais je vous en prie, allez-y doucement : ma chatte n’a jamais rien pris d’aussi gros ! suppliai-je, terrorisée. Il m’écarta brutalement les cuisses, se tourna vers un des placards pour y prendre une bouteille d’huile de cuisine. Pendant ce temps, je me mis sur les coudes. Après avoir ôté le capuchon, il en versa sur deux de ses doigts qu’il enfonça sans pitié en moi. Cette intrusion fut soudaine et peu agréable, mais je m’efforçai de ne rien faire qui puisse le mettre en colère. Il m’imprégna, ressortit ses doigts et enduisit l’un des légumes de graisse. Il écarta mes lèvres vaginales puis, de son autre main, y présenta le concombre à l’entrée et poussa doucement mais fermement. Je sentis mes muscles vaginaux céder à cette intrusion qui allait de plus en plus loin. J’avais mal ; mes yeux étaient écarquillés comme jamais à cause de la sensation de froid dont je fus imprégnée, et de la douleur, bien qu’il l’eût lubrifié. Une dernière bonne poussée, et voilà le concombre entré quasiment à moitié. Ma chatte n’avait jamais été autant remplie ; même certains hommes auxquels ma Maîtresse me donnait n’étaient pas aussi gros que ce que j’avais en moi. Tout sourire, il sortit d’une de ses poches son portable, un modèle récent équipé d’un appareil photo. — Souris, petite pute ! m’ordonna-t-il en pointant la caméra sur moi. Souris, ou je ...
... te jure que tu vas le regretter amèrement. Malgré la douleur, je fis des efforts incroyables pour faire mon plus beau sourire. Il se recula un peu, sûrement afin d’avoir une meilleure vue. J’entendis alors le son qui annonçait que la photo avait été prise. Mon calvaire allait-il prendre fin ? — Fais un "V" avec tes doigts et garde ce sourire, sinon je poste cette photo à tous mes contacts ! aboya-t-il. Morte de honte, humiliée, au bord des larmes, j’obéis ; mon index et mon majeur se déplièrent et s’écartèrent pour former la lettre "V", comme il me l’avait ordonné. Le son se fit à nouveau entendre, et je poussai intérieurement un soupir de soulagement. Je priais pour que ce soit enfin terminé. — Tourne-toi et fous-toi à quatre pattes ; et plus vite que ça ! jcljaamt Un frisson me parcourut l’échine, sachant ce qui allait se produire. Il allait m’enfoncer le second concombre dans l’anus. Je rêvais que ma Maîtresse revienne à cet instant et fasse cesser cette pratique immonde, mais une gifle me ramena à la réalité. — C’est pour aujourd’hui ou pour demain ? Je bougeai avec peine à cause du concombre planté en moi, mais je réussis à me tourner pour me retrouver dans la position indiquée. De toute ma vie, je n’avais jamais eu aussi honte, me retrouvant à exposer mon intimité à la vue de qui que ce soit. Je me mis sur les coudes et attendis. — Bieeeen, bonne fille ! Je sentis une importante quantité d’huile couler sur mon anus. Je fermai les yeux de dégoût ; mon visage se crispa ...