1. Une surprise de Noël


    Datte: 03/11/2019, Catégories: fh, ff, ffh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... lendemain lui faire des observations sur sa tenue de travail. Ni réussir à faire deux secrétaires girondes s’embrasser et se toucher pour, la semaine suivante, les punir pour avoir fait la même chose mais de leur propre initiative, dans le local de la machine à photocopier… Bien entendu, même avec les familles présentes il pouvait y avoir des incidents mais cela se réglait en général hors de la connaissance de l’encadrement. Parfois par un divorce, mais « chacun ses affaires » et surtout « tant pis pour eux » dès l’instant où cela ne remontait pas aux prud’hommes… Et c’est bien ainsi que la position dans laquelle Fabrice se trouvait avait trouvé son origine. Bon, d’accord, la situation telle qu’elle se présentait maintenant n’était pas des plus désagréables : il léchait la fente d’une femme magnifique, et cela devant son épouse. Lécher n’était pas son exercice préféré mais le fait d’y être contraint ajoutait un petit goût subtil au jus de sexe qu’il recueillait de sa langue. Il leva les yeux. Éléonore, sa femme, était penchée sur le visage de Marion qui gémissait chaque fois un peu plus fort. Et tout ça parce qu’il était allé dans son bureau chercher un dossier oublié la veille et qu’il voulait rapporter chez lui pour l’étudier à loisir pendant les fêtes, l’entreprise donnant des congés collectifs à ses employés pendant la dernière semaine de l’année. Rien que de très honnête, digne d’un employé dévoué ! Il avait pris l’escalier, ouvert son bureau, l’armoire, pris le dossier ...
    ... et lorsqu’il se retournait pour s’en aller, il avait vu Marion, l’une des responsables de la logistique, se tenant dans l’encadrement de la porte. Il lui avait souri en montrant le dossier, presque un sourire d’excuse : penser au travail un jour chômé, les syndicats risquaient de ne pas apprécier… Mais elle n’avait pas souri en retour. Son regard était juste un petit peu trop brillant. Ses lèvres un petit peu trop gonflées. Ses seins tendaient son corsage et ses tétons étaient bien dressés. Elle avait trop bu et elle avait trop d’idées. La jolie rousse s’approcha, une moue boudeuse sur le visage.« Totalement irrésistible » pensa Fabrice, pourtant bien décidé à ne pas se laisser aller à ce que de toute évidence, on venait lui proposer. Il aimait sa femme, profondément, amoureusement. À presque quarante ans, il avait enfin trouvé l’âme sœur dans ce deuxième mariage. Il ne risquerait pas de perdre ce bonheur obtenu après un premier échec qui lui avait coûté tant d’années juste pour un coup de queue lors d’une soirée de beuverie… — Vous ne me voyez jamais les autres jours de l’année. Vous passez devant mon bureau, jamais un signe, jamais un mot… lui fit-elle sur un ton de reproche. Il ne répondit pas. Il avait une bonne raison d’avoir ce comportement : Marion était sans aucun doute la collègue la plus attirante, la plus désirable de toute l’entreprise, laquelle ne manquait pourtant pas de jolies filles. Atteignant tout juste la trentaine, elle avait le charme explosif de la femme ...
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