Une surprise de Noël
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... buvait la mouille, remontait le long des grandes lèvres, aspirait les petites, revenait au clito, le prenait entre ses lèvres, le caressait, le massait… — Tu me fais du bien ! lui lança Éléonore d’une voix enrouée. C’est bon : tu suces bien ! Tu t’es beaucoup caressée pour connaître aussi bien le sexe de femme, n’est-ce pas ? Marion ne répondit pas, absorbée par sa tâche. Elle prenait un plaisir tout aussi intense qu’inattendu à toucher le sexe de cette autre femme. Elle n’aurait jamais imaginé que lécher un con pouvait non seulement être aussi délicieux mais aussi lui offrir à elle-même tant de plaisir. Elle s’était sentie défiée dans sa féminité par l’autoritarisme de l’épouse de Fabrice. Maintenant, elle avait décidé de rendre cette femme folle de plaisir, d’en faire à son tour sa chose soumise… Marion leva les yeux vers Fabrice. Celui-ci avait posé les mains sur le bord de la table, probablement pour éviter de se toucher le sexe. Le membre presque agressif sortait du bas de son ventre comme un mât. À l’extrémité de la queue, au milieu du gland violacé, une goutte perlait. Voyant que Marion le regardait, Fabrice lui fit un signe. Désignant ses ongles, il lui fit comprendre qu’elle devrait griffer les fesses d’Éléonore. D’un battement des paupières, Marion lui exprima qu’elle avait saisi. Alors, simultanément, Fabrice prit les seins de sa femme à pleines mains et se pencha pour l’embrasser tandis que Marion, accélérant le mouvement de sa langue, tétant furieusement le ...
... petit organe dressé à l’extrémité de la fente mouillée, saisit de ses deux mains, ou plutôt de ses ongles les fesses de la femme qu’elle servait. Le cri d’Éléonore les surprit tous les deux. Un cri de plaisir, bien entendu, mais aussi de surprise. La femme allongée découvrait un autre niveau dans l’orgasme. Être ainsi traitée par deux personnes, fantasme fréquent, n’a rien à voir lorsque deux personnes s’occupent réellement de faire jouir quelqu’un. Fabrice eut le temps de penser qu’heureusement il embrassait sa femme à cet instant, car sinon son cri aurait fait trembler les murs et alerté les voisins qui, peut-être, auraient même appelé la police ! On était en hiver, les fenêtres étaient fermées… En été, tout le voisinage aurait entendu Éléonore jouir ! Lorsque Marion se redressa, la bouche vernissée des humeurs de l’autre femme, elle arborait un énorme sourire. Elle se sentait vengée. Mais aussi très fière. Donner du plaisir, quelle belle tâche ! Faire gémir un homme, elle savait le faire. De ses doigts, de sa bouche, de son sexe, et même parfois, par d’autres canaux moins fréquemment offerts. Elle avait maintenant découvert qu’avec une femme, elle était tout aussi compétente, sinon meilleure… Éléonore gisait sur la table, écartelée, vaincue, épuisée. Elle tenait tendrement la main de son mari qui la regardait, heureux du plaisir qu’elle avait ressenti mais aussi un peu stupéfait de découvrir sa femme aussi passionnée. — Il va falloir faire quelque chose pour lui, fit Éléonore, ...