1. Françoise la mère de ma copine (histoire vraie)


    Datte: 03/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ferait le plus grand bien. En plus elle n’est pas dispo de la journée, elle fait du Baby-sitting dans un village à coté de 8h à 22h Jean met fin à la discussion en se levant en disant : bon c’est réglé ma femme t’attend demain matin à 11h et en plus elle t’invite à manger. Je les quitte en disant que j’amènerais le dessert, et après avoir butiné ma Florence qui est de plus en plus réceptive, depuis que je l’ai réellement dépucelée dans le lit de ses parents quelques jours plutôt. J’arrive vers 11h, elle est déjà dans le jardin, elle porte une blouse bleu clair transparente dans les contre-jours, je distingue des sous-vêtements blancs en coton. Très vite je me mets au travail, pioche, pelle, brouette. Je la regarde en coin, elle est superbe en les cheveux relevés, les joues rouges, la blouse colle et laisse apparaître ses formes généreuses. il me tarde que nous ayons fini pour me retrouver en tête à tête avec elle. 12h30 l’arbre est planté, tout est rangé, elle me tape sur l’épaule avec un grand sourire en me disant : tu prends une bonne douche en bas, moi au-dessus et on se retrouve dans 15 minutes au salon de jardin. Je descends en me demandant comment j’allais bien pouvoir l’aborder. Le hasard voulu qu’il n’y ait pas de shampoing, je pris une bonne douche, puis la serviette autour de la taille, je montais pour lui demander le produit. Je pensais lui parler à travers la porte, et je fus surpris de la trouver en sous-vêtements noirs dans le couloir. En me voyant elle ...
    ... s’arrêta net, je réagis immédiatement en lui parlant doucement : Que vous êtes jolie, vous m’attirez, votre corps m’attire, vos lèvres m’attirent. En lui disant ça je me suis rapproché, elle n’a pas bougé. Je lui prends la main et commence à la baiser. Je lui dis que depuis le premier jour j’ai envie d’elle, de la caresser, se sentir sa peau contre la mienne. Je me suis encore rapproché, ma main lui prend la taille. Elle fait non de la tête, me repousse doucement en disant : Alain arrête tes bêtises, il y a Jean, Florence, je pourrais être ta mère. Moi (en lui tenant toujours la main) : je sais tout ça, mais c’est plus fort que moi, et je suis certain qu’au fond de vous vous êtes, flattée Françoise : non du tout, enfin un peu certainement, Moi ( la tirant vers moi) : alors laissez-vous faire vous allez voir ça va être très agréable je suis vers elle, je lui parle, elle ne bouge plus la tête baissée, nous nous tenons par la main. je colle mon corps contre le sien je passe mes mains sur son ventre, je la serre contre moi, Ma serviette que je portais autour du ventre est tombée. Je l’embrasse délicatement dans le cou, derrière l’oreille. Elle dit toujours non de la tête. Elle résiste, elle lutte contre son corps qui dit oui et sa volonté qui dit non. Mes baisers se rapprochent de sa bouche, j’ai lâché sa main pour plaquer les miennes sur son ventre. Nous sommes, collé l’un à l’autre, ma main droite lui prend le menton pour lui faire tourner la tête. Je me dis va doucement, ne te ...