1. Françoise la mère de ma copine (histoire vraie)


    Datte: 03/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... précipite pas. Elle résiste, elle doit sentir mon érection contre ses reins. Je ne parle plus, je lui fais des baisers dans le cou, ma main droite remonte sur ses seins, que je caresse à travers le soutien-gorge à balconnet Françoise (presque suppliante) : non Alain s’il te plait arrête, on ne peut pas faire ça. Moi : vous n’aimez pas mes caresses, mes baisers ? Françoise : la question n’est pas là Elle cherche de nouveau à partir, je profite de cet instant pour dégrafer son soutien-gorge Elle se retourne vivement pour le rattraper, nous sommes face à face, sans hésiter, je la prends dans mes bras et l’embrasse sur la bouche. Elle se raidit, cherche encore à m’échapper, mais avec une main sur son dos et l’autre sur son cou je la coince fermement. Nos corps sont collés je sens sa poitrine, et elle doit sentir mon sexe contre son ventre. Ma langue force ses lèvres doucement, ma main gauche descend sur ses fesses. Au fond de moi je me dis, tente le tout pour le tout maintenant, ça passe ou ça casse. Alors je passe, toujours en douceur, ma main dans son shorty, pour lui caresser la raie des fesses. La surprise lui fait entrouvrir les lèvres, ma langue se faufile, rencontre la sienne, qui ne se défile pas, bien au contraire. Elle vient à la rencontre de la mienne, la cherche la lèche. Nos salives es mélangent, ses mains sont sur mes fesses. Après ses instants torrides elle se recule, me prend la main, et m’emmène dans le jardin. Elle s’arrête devant un transat, enlève sa culote, ...
    ... s’allonge en écartant les cuisses et me dit : prends-moi. A genou je commence par embrasser puis lui lécher le sexe, ma langue, la pénètre, je bois sa mouille, je prends son clitoris entre mes lèvres je le suce. Elle me plaque la tête avec ses mains, avance son bassin et jouit dans un râle rauque de femme en chaleur. Elle me libère, elle me sourit, je me lève l’embrasse, et présente mon sexe à l’entrée de sa grotte trempée. Je la pénètre, c’est un bonheur ce vagin humide et chaud, Françoise ‘dans un soupir : ne jouit pas dans mon ventre. Je ne réponds pas. Je la baise lentement, elle a écarté les jambes au maximum, ses pieds reposent sur les accoudoirs, moi j’ai les bras tendus afin de la pénétrer le plus profondément possible, et de voir son visage et ses seins. Elle a fermé les yeux, je vais de plus en plus vite, je vois à son visage son plaisir qui monte, ses seins bougent dans tous les sens, je vais fort très fort. On entend son souffle court et ses gémissements. Tout à coup elle explose Elle crie : ouiiiiiiiiiiiiiiii, défonces moi, fais-moi jouirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, oui c’est trop bon trop fort encore encore enocrrrrrrrrrrrrrrrre Et dans us sursaut ses jambes se détendent, et elle m’expulse de son vagin, au moment ou je vais jouir, je me lève précipitamment, je la prends par les cheveux, lui relève la tête, et li met ma bite dans la bouche au moment où j’éjacule très fort dans un soupir de soulagement. Je lui tiens la tête jusqu’au dernier spasme. Quand je la lâche , ...