Timie
Datte: 06/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... des épingles, compris ?- Oui ! Monsieur Michel, je ne bouge plus. Dit-elle entre deux sanglots. La pince suivante placée sur le clitoris la fait hurler, son cri se répercute dans toute la pièce, mais au lieu d’émouvoir ses bourreaux, ils rient tous de bon cœur. Une autre est mise sur le bord de son anus, là où la chair est si sensible, entre le sexe et le trou mignon. Nadège se tortille d’avant en arrière sous l’effet de cette nouvelle agression, comme dans un coït satanique. A nouveau Michel lui lance la cravache sur les seins et les cuisses, jusqu’à ce qu’elle se calme. Jean en prend alors plusieurs qu’il place de chaque côté de l’anus, puis d’autre dans le gras des fesses. Il complète ensuite le long des cuisses, sur le ventre, le pubis, tout le tour des seins, le long des bras, sur les lobes de chaque oreille, sur le nez, la langue et termine enfin avec une sur chaque doigt de pieds. Nadège a maintenant des pinces partout, la douleur est omniprésente, chaque pincement lui fait l’effet de milliers d’aiguilles qui lui martyriserait sa chair. Elle pleure en gémissant, jamais aucune douleur endurée n’a été équivalente. Mais en bonne esclave, elle subit sans se révolter. Pendant ce temps, les quatre hommes contemplent leur œuvre en prenant autant de plaisir que leurs victimes n’a de douleur. Ils vont eux aussi s’installer dans des fauteuils afin que Nadège leur fasse une fellation sans enlever la pince qu'elle a sur la langue, ce qu’elle vient faire sur leur ordre en ...
... s’approchant à quatre pattes. Lorsqu'elle les a bien excités, les quatre hommes demandent alors à Timie de se débarrasser des feuilles d’orties et de venir près d’une table où Monsieur est appuyé, et de se laisser pénétrer le sexe. Michel se place ensuite derrière elle afin de l’enculer pendant que Paul montant sur la table lui présente son sexe à sucer. Jean quand à lui se met dans ses mains. Nadège doit pendant ce temps leur caresser les fesses et leur lécher l’anus. Timie est secouée de toute part, jamais on ne l’a prise ainsi de tout côté. La cadence est infernale, pendant que l’un s’enfonce devant, l’autre la perfore par derrière. L’irritation des feuilles d’orties se rajoute à celle de cette pénétration sauvage, elle ne peut même pas crier, car elle a la bouche pleine d’un autre sexe. Elle est rapidement inondée, les hommes excités par la séance précédente ne pouvant plus se retenir. Le lendemain, Monsieur et Michel décidèrent d’emmener Timie et Nadège à la campagne. Possédant une propriété clôturée d’un grand mur à l’abri des regards indiscrets, celle-ci est très adaptée pour le dressage des filles. Aussitôt arrivés, les deux jeunes femmes durent se déshabiller complètement et ne garder que des chaussures à talon carré haut de dix centimètres. Le port de ces chaussures les obligeant à se tenir cambrée. Tenues en laisse par leurs maîtres, celles-ci firent d’abord le tour de la propriété, à quatre pattes, les reins le plus élevé possible, jambes écartées. Elles passèrent près ...