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Timie
Datte: 06/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
... brûlantes sur le corps malmené. Visant les mamelons, Monsieur les enrobent dans une gangue de cire. Nadège frémit à chaque goutte. Pendant ce temps, Timie en fait couler sur sa fente, de haut en bas puis sur l’anus qui palpite sous l’effet de la chaleur. Elle lui enfonce ensuite la bougie allumée dans l’anus et reprend la cravache. Chaque coup porté enlève un peu de cire. Lorsque tout est parti, Timie s’arrête et éteint la bougie. Il était temps, la flamme s’était rapprochée très près de la peau. Le troisième jour étant passé dans cette maison, Monsieur et Michel sentant les deux filles prêtent à tous leurs caprices décidèrent de les utiliser d’une manière plus rémunératrice. S’adressant à elles, Monsieur leur dit :- Vous allez maintenant gagner un peu d’argent, il ne serait pas normal que je vous entretiennent longtemps ainsi. Nous allons vous amener des clients qui exigeront tout de vous. Aucun refus ne sera toléré. La moindre rebuffade sera assortie d’une punition extrême. Donc, gare à vous mes jolies !- Vous recevrez les premiers au « donjon », mains sur la barre et les yeux bandés afin de conserver l’effet de surprise. Celles-ci se rendent dans la salle des supplices et se mettent dans la position demandée après s’être mises mutuellement un bandeau sur les yeux. Quelques minutes passèrent avant d’entendre du bruit autour d’elles. Plusieurs hommes étaient là et parlaient doucement. Timie se sentit soulevée par deux paires de bras qui la prenait par les jambes afin de ...
... les relever au niveau de son bassin, puis on les lui écarta. Elle se cramponna à la barre afin de ne pas tomber en avant. Elle sentit ensuite un sexe s’insinuer dans le creux de ses reins. Elle força afin de faciliter la pénétration qui se voulait brutale afin de faire mal. Les coups de boutoirs la prenait avec v******e et elle geignait sous le choc. Son violeur en profitait pour lui att****r les seins à pleine mains en écrasant bien les deux fraises fragiles des tétons. Une main se fraya alors un chemin entre ses cuisses, puis une autre. On lui attrapait les petites lèvres entre pouce et index en tirant afin de l’écarter. Une douleur fulgurante éclata subitement en son sexe et la fit hurler. Elle ressentit une multitude de piqûres à l’intérieur de son vagin. On venait de lui enfoncer brutalement un goupillon. De ceux que l’on utilise pour nettoyer les bouteilles. Cette pénétration sauvage faillit lui faire lâcher la barre, mais dans un réflexe, elle se rattrapa. Le goupillon manié par la main sadique commença quelques allers-retours, comme si on prenait son sexe pour une bouteille à nettoyer. Chaque mouvement de cet instrument lui égratignait l’intérieur et la mettait à vif. Jamais aucun sexe ne l’avait ramonée de cette manière. Au comble de la douleur elle s’évanouit, s’empalant encore plus profondément sur le sexe qui la prenait. Son réveil ne fut pas mieux, elle revint à elle par l’effet d’une vive douleur en son fondement. Profitant de son état, un de ses violeurs l’avait ...