1. L'épouse, l'amant, l'époux ! 11


    Datte: 07/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ses seins contre le sexe de l’homme pour le ragaillardir. Ses mains aux manucures roses saisissent le pénis puis le masturbe directement contre la peau nue de sa poitrine. -Ça m’excite un truc de fou ! -C’est vrai ? -J’aime quand tu me branles comme ça ! -Je le fais souvent à mon mari. Mais il bande pas. Jugeant l’érection assez dure l’épouse grimpe sur l’amant. De la main il écarte sur le rebord d’une fesse la ficelle noire du string puis frotte le gland contre l’intérieur chaud des lèvres vaginales. Elle lui remange la bouche. Soudain l’amant retourne l’épouse, il décroche son string noir qu’il fait glisser le long de ses cuisses, de ses chevilles, le long de ses escarpins noirs ouverts. Il dépose la bouche dans l’entrecuisse humide pendant que de la main elle nourrit l’érection en lui massant les testicules. -T’aime ça quand je te masse les boules ? -Oui. Ça me rend dingue ! -Mon mari aussi. -À mon tour de te rendre folle. La Langue Française la cunnite ! Elle ferme les yeux de plaisir. Elle fellationne de nouveau le braquemart de l’amant pour l’endurcir. L’amant ...
    ... s’allonge sur le dos. Elle s’accroupie près de son sexe. Elle saisit entre ses doigts roses la verge de l’amant qu’elle frotte contre son clitoris. La fleur humide contamine la verge. Elle introduit le braquemart dans son canal vaginal puis chevauche l’amant devant son mari. Elle colle ses lèvres contre celles de l’amant, enfonce la langue dans sa bouche tandis qu’elle chevauche son pénis et qu’il presse ses rondes fesses nues. La femme décroche sa bouche de la bouche de l’homme, se redresse puis le chevauche jusqu’à ce qu’il éjacule au creux de ses reins. O et R s’embrassèrent durant quelques minutes. Ils s’allongèrent l’un près de l’autre. Leurs dos charnellement rompus s’enfonçaient dans la douceur du matelas. O caressait d’une main rectiligne le ventre d’R. D debout devant le lit observait le couple adultérin en total érection ! La main du rival allait puis revenait de plus en plus lentement sur le ventre en métamorphose de son épouse. On aurait dit que cette main étrangère devenait de plus en plus fainéante à accomplir ses trajets désormais courbes. D mouilla son caleçon. 
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