1. Le sperme de mon frère (1)


    Datte: 07/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Les personnages : - La sœur : 18 ans, 1m65, 64 kilos, 90C, blonde — Le frère : 19 ans, 1m80, 90 kilos, 21cm, brun ************ Tout cette histoire avait commencé 15 ans plus tôt. Mon frère et moi partagions alors un appartement en ville dans le cadre de nos études et autant dire que depuis le début de cette collocation improvisée, nos rapports avaient drastiquement changé. Nous avions toujours été proches, aucun sujet n’était tabou entre nous. Mais désormais, un cap avait été franchi. Un cap où nous n’avions plus aucune gêne à nous montrer nus en sortant de la douche ou à nous entendre nous masturber dans nos chambres respectives sans que cela ne nous dérange. Inconsciemment, nous avions débuté une sorte de jeu de séduction. Cela se concrétisa véritablement lorsqu’un samedi matin, alors que nous devions nous rendre chez nos parents pour un repas de famille, une coupure de courant avaient débranché nos réveils. Pour rattraper ce temps perdu, mon frère suggéra que l’on prenne notre douche en même temps. D’abord hésitante, j’avais accepté. Et je crois rétrospectivement que c’est là où tout a basculé. Admirer l’eau couler le long du corps dénudé de l’autre, c’était à la fois totalement immoral mais aussi très érotique. Son pénis me parut alors gigantesque, bien plus que d’habitude, et je me demandais donc s’il ne bandait pas. Plutôt que de mettre fin à cette situation plus qu’embarrassante, nous avons continué à nous savonner individuellement puis mutuellement, ses mains ...
    ... robustes caressant d’une manière très douce le bout de mes seins tandis que les miennes effleuraient la peau de ses testicules. Vers la fin, je lui demandais de me frotter le dos et son sexe alla alors s’accoler entre mes fesses rebondies. J’aurai juré qu’il en profiterait pour passer à l’acte, mais il n’en fit rien. Ce tripotage heurta tant notre pudeur que le trajet en voiture jusqu’à la demeure familiale fut en grande partie silencieux. Néanmoins, il ne marqua pas la fin de notre relation immorale, mais bien son commencement. En arrivant chez nos parents, nous simulâmes la plus parfaite innocence. Nos parents n’émirent pas le moindre doute quant à la raison de notre retard et la journée se déroula sans encombres. Mon esprit s’égarait occasionnellement dans le souvenir des événements du matin mais je revenais assez vite à la raison. Quand minuit sonna à l’horloge, je regagnais ma chambre d’adolescente, celle où j’avais grandi, pour y passer la nuit. Je présageais, ou du moins j’espérais, une visite nocturne de mon frère et mon souhait fut exaucé quand je le vis débarquer une demi-heure plus tard en tenue d’Adam, le pénis fièrement dressé. vsevoopq Excitée, mais encore raisonnée, je savais que nous ne pourrions pas coucher ensemble sans réveiller nos parents puisque leur chambre se situait juste en dessous des nôtres. Ce soir-là, notre rapport se résuma à une fellation et une cravate de notaire. A peine le pénis fraternel avait-il effleuré mes lèvres que ma bouche l’engloutit ...
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