1. Le sperme de mon frère (1)


    Datte: 07/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... intégralement. Il m’apparut plus gros et savoureux que tout ceux auxquels j’avais pu goûter auparavant. L’adrénaline suscitée par la peur d’être découverts devait y être pour quelque chose dans le décuplement de notre plaisir. Son gland prenait un malin plaisir à venir frapper le fond de ma gorge au rythme de mes sussions lascives. Ma langue quant à elle s’efforçait de récolter les quelques gouttes de liquide pré-séminal que son urètre avait déjà commencé à évacuer. Au bout de quelques minutes, mon frère se retira et vint placer son engin entre mes deux seins. Les compressant de mes mains, j’étouffais cet organe audacieux. J’appris bien des années plus tard de son propre aveu que mon frère rêvait depuis longtemps de cette "branlette espagnole". Son pénis faisait des va-et-vient incessants le long du passage que je lui avais dégagé entre mes seins depuis déjà un bon quart d’heure quand son sperme vint éclabousser ma poitrine, mon cou et une partie de ma mâchoire. Après cette éjaculation à laquelle je n’avais pas été préparé, mon amant repartit aussi vite et discrètement qu’il était venu, me laissant dans un piteux état. Le lendemain, nous quittâmes la maison de notre enfance afin de regagner notre appartement. L’ambiance du trajet de retour était plombée par le désir sexuel que nous ressentions l’un envers l’autre et l’impatience de passer à l’acte une bonne fois pour toute. Le regard de mon frère s’attarda d’ailleurs souvent sur ma poitrine que j’avais volontairement laissé ...
    ... à l’air libre, ce qui nous valut quelques frayeurs. En montant les escaliers de l’immeuble, sa main caressa à plusieurs reprises mon fessier dont mon pantalon avait échoué à cacher les formes. La peur d’être surpris par nos voisins, qui étaient pour la plupart au courant de notre filiation, ne nous inquiétait guère plus. Nous n’avions qu’une seule idée en tête : faire l’amour. A peine entrés dans notre logement, nous entreprîmes de retirer tout nos vêtements et de les balancer aux quatre coins du salon, pour finalement se précipiter sur le canapé. Mon frère bandait déjà rudement, à tel point que son gland me parut plus rouge qu’il ne l’avait jamais été. J’écartais immédiatement les jambes, ne souhaitant pas m’encombrer des traditionnels préliminaires, car je savais que mon vagin transpirant d’excitation n’attendait qu’une chose : qu’on le pénètre. Par ailleurs, cette pénétration fut dans un premier temps péniblement douloureuse, les parois de mon antre ne semblant pas capables d’accueillir un hôte si volumineux. Je criais pour exprimer ma douleur mais cela ne faisait que renforcer l’euphorie sexuelle de mon frère qui accéléra ses coups de reins. Il fallut une bonne minute à ma fente pour s’habituer au traitement que l’on lui infligeait mais une fois cela fait, cet acte sexuel me parut des plus divins. En position du missionnaire, mon frère faisait frémir chaque centimètre carré de ma peau, tandis que ma voix crevait le plafond, confirmant à nos voisins la nature de notre acte ...