1. Chroniques immortelles (29)


    Datte: 08/11/2019, Catégories: Hétéro

    ... mais Kemal est endurant, vigoureux, il sait s’économiser, comment faire durer le plaisir, comment me donner du plaisir. Et moi je ne m’économise pas ! Je jouis trois, quatre fois, alors que Kemal me résiste encore. N’y tenant plus, je profite d’un moment pour le dominer et m’enculer sur lui et faire une série de mouvements frénétiques. Kemal a paru surpris. Peut-être ne pensait-il pas que cettejeune femme blonde lui offrirait ainsi son cul avec autant de facilité ! Mais il profite de la situation. Il me pilonne sévèrement, me faisant gémir plus que de raison. C’est finalement alors qu’il m’encule en levrette qu’il craque. Il se retire brusquement, râle, et je sens les jets de sperme chaud s’écouler sur mon bas du dos… Il s’est écroulé sur la couette. Je m’allonge a coté de lui en souriant. J’ai cru qu’il allait me résister jusqu’au bout ! — Excuse moi, dit-il, je n’aurai peut-être pas du ? — Tu rigoles, je t’ai pratiquement violé ! C’est moi qui devrait m’excuser. Nous passons quelques minutes à récupérer, le temps de parler de nous. Je lui parle de ma vie « officielle », de mon «frère», de ce grand oncle que j’ai si peu connu… Lui est divorcé. Sa passion de l’archéologie a anéanti toute vie de couple. Mais il le vit assez bien. Si je suis mariée ? Non, dis-je en rougissant. Mais je suis en couple, de façon assez libre. Pardon ? Euh non, avec une femme… — Oh pardon. Je suis indiscret. — Pas de quoi, ce n’est pas un secret. — Mais… c’est moi, ou il fait très sombre ? Quelle ...
    ... heure est-il ? Je me lève, jette un coup d’œil par la fenêtre. — Oh ? Je crois que tu vas devoir accepter mon hospitalité, Regarde : tu ne pourras plus rouler maintenant. La neige est tombée en masse depuis qu’il est arrivé. Un véritable blizzard. Il y a bien vingt centimètres qui recouvrent maintenant la route. Et ce n’est pas fini. On ne sera pas dégagé avant demain dans le meilleur des cas. — Oh mince ! — Tu es attendu quelque part ? — Non… Non, mais çà m’ennuie de devoir t’imposer ma présence… — T’es adorable… On s’est assis devant le feu. J’ai remis mon déshabillé pour la forme. Je lui ai trouvé un peignoir « qui appartenant à mon oncle ». Pour tuer le temps, on parle antiquités et objets anciens, un sujet inépuisable pour nous. On examine tout le contenu de sa mallette et je le stupéfie en datant avec précision toutes les pièces qu’il me présente. Et puis un coin de feuille dépassant du classeur attire mon attention. — C’est quoi ce document ? On dirait de l’arabe ? — C’est des caractères arabes en effet, mais pas de l’arabe. Ça fait partie d’un lot de parchemin trouvé dans le kourgane dont je te parlais. On ne l’a pas encore traduit. Vas-y doucement, c’est très précieux. Tu connais l’arabe ? — Oui, depuis quelques mois… Tu as raison, les caractères sont de l’arabe, mais pas la langue. Et çà date bien de mille deux ou trois cent ans, contemporains de ce collier ! Oh, il faut que je te le rende. Mais… on dirait une langue turque ancienne. Mais oui, c’est bien une langue à ...
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