1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : une soirée au restaurant


    Datte: 08/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... dépose devant chez nous. Le chauffeur nous dit au revoir. Pour ma part, j’ai droit à un baiser langoureux sur les lèvres et ses mains sur mes fesses. A peine sommes-nous rentrés, que je prends une douche réparatrice. Je suis dans notre chambre conjugale, nue sous mon peignoir. J’attends mon amant. Mathieu ne pouvait pas laisser passer une telle occasion. Il était 3h00 du matin quand je reçus son appel, me disant qu’il était au lieu de rendez-vous. Philippe est parti le réceptionner, et, dix minutes après, ils étaient là. Ils ont peu parlé, Mathieu exprimant son incompréhension devant le fonctionnement de notre couple et le comportement de mon mari. Celui-ci lui répondit qu’il se contente de me donner le maximum de plaisir, c’est pour ça qu’il était là et pour rien d’autre. Nous sommes restés dans la même tonalité lorsque Mathieu a pénétré dans la chambre. Il me prend dans ses bras, me serre contre lui pour que je sente son désir et m’embrasse fougueusement. Il ne se soucie plus de Philippe, installé sur son fauteuil. Mathieu se comporte comme s’il rejoignait une femme adultère. • Je rêve pas ? Je vais vraiment pouvoir te baiser ? J’ai d’abord pensé que ton mari était un vicieux qui exhibait sa jolie femme et que tu n’étais qu’une allumeuse. Tu m’as rendu fou en exhibant comme ça ta poitrine et ta chatte. • Hum, je vois que je te fais de l’effet, lui dis-je en caressant sa belle queue à travers son jeans . . Et moi, j’ai eu envie de toi dès que j’ai vu l’effet que je te ...
    ... faisais. Ta braguette a failli exploser, pendant que tu te penchais pour m’expliquer le menu, en fait pour mieux mater ! • J’ai failli te mettre un mot pour te demander qu’on se rejoigne aux toilettes. J’en pouvais plus ! • T’aurais dû le faire, je serai venue, j’aime me faire mettre dans les toilettes. Il avait fait tomber mon peignoir. J’étais nue contre lui, il avait les mains sur mes fesses et m’embrassait longuement, n’arrêtant que lorsque nous avions besoin de reprendre notre souffle. Il malaxe tendrement mes seins et m’embrasse dans le cou, derrière les oreilles. J’aime ! Je dégrafe sa ceinture, et baisse d’un seul coup son jeans et son caleçon. • Ouah, quel engin ! Merci mon Philippe, je t’aime tant de me permettre cela. • A genoux, salope ! Bouffe-moi les couilles ! Je lui attrape la bite déjà gonflée d’une main, les couilles de l’autre et commence à le sucer délicatement. Après deux minutes d’une superbe fellation, je me relève. Il me pousse vers le lit, sur lequel je m’assois. J’écarte les jambes. Ma chatte pourtant déjà sollicitée se soir est à nouveau prête pour un nouveau coït, grâce au bain réparateur que j’ai pris en rentrant, en me préparant soigneusement pour cet ultime séance. Comme par réflexe, il commence à me faire un cunnilingus. Mais je veux autre chose et lui aussi. Je me mets à 4 pattes sur le lit, je présente mon petit cul à mon amant. • Viens ! Baise-moi en levrette ! • Je te préviens, je mets pas de capote. Quand on fait de sa femme une putain, on ...
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