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Évolution d'une femme
Datte: 08/11/2019, Catégories: fh, fagée, extracon, cocus, Collègues / Travail hotel, amour, massage, Oral pénétratio, extraconj,
... semblant de ne pas voir, diplomatie maritale oblige. Depuis, j’ai retrouvé mon chéri avec des érections dignes de mon amant et il m’a enfin donné des orgasmes dont j’avais perdu jusqu’au souvenir avec lui. C’est vrai que j’ai moi-même beaucoup évolué sur le plan sexuel ; je ne suis plus la même qu’avant de rencontrer Marc et je jouis beaucoup plus facilement. J’ai demandé à Pascal s’il souhaitait que je cesse mes relations avec Marc, puisqu’il avait retrouvé toute son énergie, mais c’est lui qui a insisté pour que je continue à coucher avec lui. Nous étions tous les trois très proches et Pascal n’avait pas l’impression que Marc et moi le trompions. J’avoue que j’en ai été très heureuse : j’avais fini par prendre goût à nos déjeuners qui se finissaient invariablement dans un lit (on se faisait servir dans la chambre) et il en était de même pour nos escapades professionnelles ; j’aimais bien les hôtels trois étoiles, la visite des villes où nos séminaires nous entraînaient et les parties de sexe intenses qui suivaient. J’aimais beaucoup aussi passer la nuit dans les bras de mon amant ; je crois que je l’aimais un peu, quand même. Pourtant, nous avions déjà eu des frictions, par exemple quand il avait essayé de me faire l’amour au bureau. Il avait été insistant comme toujours lorsqu’il veut quelque chose, et j’avais fini par me laisser faire un jour que j’étais en jupe. Il avait descendu ma culotte et s’était agenouillé devant moi pour me lécher la chatte, les fesses appuyées ...
... sur son bureau. Il savait magnifiquement comment flatter mes petites lèvres de sa langue, lécher doucement l’entrée de ma chatte pour remonter jusqu’à mon clito pendant que ses doigts prenaient possession de mon antre déjà trempé de salive et de mouille. On a fini sur le canapé du coin salon et il m’a quand même donné beaucoup de plaisir, surtout en levrette. Pourtant, je lui ai demandé de ne plus recommencer : je n’ai jamais pu me détendre, même si nous sommes les seuls habilités à entrer dans son bureau. J’aime mon confort au point de préférer nettement faire l’amour dans un lit. Un effet de l’âge, peut être ? Marc a fini par vouloir que je l’accompagne lors de sorties en soirée. Il en voulait toujours plus, et moi j’étais déjà bien au-delà de tout ce que j’aurais pu imaginer avant de le connaître. Nous sommes sortis au restaurant sans mon mari, ce qui m’a perturbée car nous avons rencontré des connaissances et je commençais à me soucier du qu’en-dira-t-on. Marc restait très détendu mais je trouvais curieuse sa volonté de nous afficher ensemble en ville. Il m’a demandé de sortir un soir avec deux amis à lui, au restaurant et peut être dans un bar ensuite. J’ai refusé ; il a insisté. J’en ai parlé avec Pascal qui m’a encouragée à accepter. Ses deux amis étaient très sympas et j’aurais pu passer une excellente soirée si Marc n’avait pas été aussi possessif, allant même, dans la conversation, jusqu’à évoquer nos interludes de sexe ! J’étais atrocement gênée et je crois que ses ...