Évolution d'une femme
Datte: 08/11/2019,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
massage,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... ; ses paumes de mains frottaient mon entrejambe à m’en faire jouir. Je suis restée comme ça au moins cinq à six minutes, et l’homme m’a avoué, une fois le massage fini, que ça avait été une excitation monstrueuse de sentir mon sexe venir se poser dans ses mains offertes et il m’en a vivement remerciée. J’avais moi-même apprécié l’action ; c’est rapidement devenu ma marque de fabrique, et des clients venaient au salon en demandant la masseuse qui se laissait caresser la chatte. J’ai failli abandonner plusieurs fois, surtout une fois quand un bel homme de couleur, Martiniquais je crois, a exigé absolument une finition par la bouche. Je le massais depuis vingt bonnes minutes et je me préparais à le finir à la main quand il a dit très fermement qu’il était prévu une finition dans la bouche. Je lui ai expliqué que je ne faisais pas cette prestation et qu’avec moi, ce serait à la main. Il a commencé à parler de plus en plus fort, que c’était ce qu’on lui avait promis, qu’à chaque fois qu’il venait c’est ce qu’on lui faisait et qu’il n’y avait pas de raison qu’il n’y ait pas droit. Pour le faire taire et éviter le scandale, je l’ai sucé et fini dans ma bouche. Il avait un sexe plus gros que mon mari et mon amant, et une fois habituée au volume à prendre en bouche, je me suis surprise à apprécier la douceur de la peau, la dureté et la puissance que dégageait cette queue et j’ai presque aimé recevoir son hommage dans ma bouche. J’ai quand même tout recraché discrètement. Je me suis ...
... rendu compte qu’Annie surveillait les cabines car elle m’a prise à part dès ma sortie pour m’expliquer les erreurs que j’avais faites avec ce client. À la suite de cette prestation, j’ai eu droit à un cours de fellation avec travaux pratiques et j’ai appris à sucer. Je n’aurais jamais pensé me voir dans une situation pareille ! Apprendre à faire une fellation à 46 ans ! Là, j’ai vraiment eu l’occasion de goûter un grand nombre de bites ; des grosses, des petites, des larges et courtes, et ce qui m’a perturbée, c’est que dans le prolongement du massage je me suis rendu compte que j’aimais prendre un sexe dans ma bouche. J’aimais la sensation de puissance que j’avais en contrôlant le plaisir et l’orgasme des hommes dont je m’occupais. Pourtant je n’arrivais pas à aller jusqu’à la gorge profonde. Ceci dit, j’étais sûre de faire plaisir à mon mari quand je le retrouverais. Par contre, j’ai absolument refusé la finition par le vagin : il n’était pas question pour moi de me faire littéralement baiser par le premier venu. Je trouvais que j’allais déjà tellement loin ! Je réservais ce plaisir à mon amant et peut-être à mon mari si ses médecins lui trouvaient un traitement moins castrateur. Marc a quand même été le premier à en profiter ; mon mari ignorait quelle "formation" j’avais suivie pendant ces quinze jours et je voulais être prête pour lui faire une grande surprise. Marc, lui, a constaté mes progrès lors de nos rendez-vous du midi dans notre auberge préférée. J’avais demandé ...