1. L'arrivée au camping de Biscarosse (1ère partie)


    Datte: 09/11/2019, Catégories: f, fh, 2couples, rousseurs, couple, couplus, vacances, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... résistance à quelque demande que ce soit, elle satisferait toutes ses envies, tous ses caprices, et elle saurait se montrer docile. La fente en feu, Lucie ne voulait de toute façon depuis de longues minutes qu’une seule chose : être prise. Être prise fermement, d’un coup de rein puissant et libérateur, là sur la moquette épaisse qui devait en avoir vu bien d’autres. Être transpercée sous les regards complaisants de son mari, par cet homme qui saurait la délivrer de ses tourments, de sa folie. Il pourrait maintenant la posséder selon son bon vouloir, dans la position qu’il choisirait. — Continue ma chérie, suppliait Marc haletant, raconte-moi la suite.— Non, c’est à toi d’imaginer maintenant. Marc prenait alors le relais : Peut-être l’inconnu aurait-il d’autres attentes… Peut-être exigerait-il qu’elle le suce d’abord avec application. Il savait qu’elle s’exécuterait immédiatement. Un simple claquement de doigts vers le sol de la part de l’homme suffirait pour qu’elle s’agenouille lourdement devant lui, pour qu’elle saisisse sa verge congestionnée, et qu’elle l’engloutisse entièrement dans sa gorge brûlante. Elle le sucerait avec méthode, ne s’arrêtant de temps en temps que pour jeter un regard vers celui qui apprécierait alors la sincérité et l’étendue de sa soumission. Et il ne serait pas déçu. Pétrissant de ses deux mains le fessier musclé de son amant, elle saurait l’amener progressivement jusqu’à l’orgasme. Elle sentirait alors à travers la fine paroi de latex, les ...
    ... longues et puissantes giclées de liquide séminal. Car elle savait que si elle voulait recevoir sa délivrance, elle devrait au préalable être prête à donner beaucoup d’elle-même à l’inconnu. Le satisfaire devait devenir, à partir de cet instant, sa priorité. Le temps n’était plus aux préliminaires, et elle allait enfin pouvoir montrer à son mari qu’elle n’était pas une femme aussi sage et candide qu’il le croyait. — Tu les aimes nos petites histoires, hein ma chérie ?— J’les aime pas, j’les adore mon amour !— T’es vraiment qu’une petite salope, lâcha Marc avec satisfaction. Les dialogues qu’inventaient alors les deux amants avaient le don de décupler leur plaisir dans l’étreinte. L’excitation était à son paroxysme. Lucie regardait son mari allongé sous elle droit dans les yeux. Elle frottait nerveusement son bourgeon échauffé sur le pubis de son homme. Son regard brillait dans la pénombre de leur chambre, Marc y lisait l’envie de jouissance. Lucie transpirait. Elle avait chaud, mais pourtant elle tremblait légèrement. Si l’orgasme n’était alors plus très loin, il ne fallait cependant pas aller trop vite, se montrer patient et ne pas brûler les étapes. Lucie ne parlait plus, mais dans son imaginaire débridé, la suite prenait à peu près cette tournure : — Dis donc, murmurait l’inconnu d’une voix envoûtante, on dirait que ton mari a envie de me laisser m’amuser avec toi. Il se tournait alors vers sa femme, du genre « grande rousse pulpeuse ». Nos deux amants aimaient l’imaginer lascive ...