1. L'arrivée au camping de Biscarosse (1ère partie)


    Datte: 09/11/2019, Catégories: f, fh, 2couples, rousseurs, couple, couplus, vacances, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... et à demi-nue, laissant apparaître une peau très pâle, couverte de taches de rousseurs. Étendue sur un sofa, elle se caressait sans pudeur aucune. Offrant au trio l’image d’une femme mûre et libre, qui assume pleinement la face obscure de sa sexualité, sans aucun complexe. À travers un string noir en dentelle très fine, elle avait passé les doigts de sa main droite. Elle explorait sa fente aux lèvres gonflées du plaisir de voir son mari initier « une petite nouvelle » à l’échangisme. — Tiens, attrape ! ajoutait alors l’homme, en lançant en direction du sofa le petit tanga rouge tout imprégné de mouille. Tout en fixant droit dans les yeux notre chère néophyte, et tout en continuant à se caresser, la belle rousse portait de sa main libre l’étoffe à la hauteur de son visage. Elle humait alors avec délectation la petite pièce de tissu, dont tous les trois imaginaient parfaitement les qualités enivrantes du puissant parfum qui devait s’en dégager. Puis elle passait une langue avide sur le fond de la petite culotte, en en lapant nerveusement l’épais nectar à la manière d’un petit chat. La femme finissait ensuite par faire disparaître le bout d’étoffe entre ses cuisses impudiques. La séance de masturbation reprenait alors de plus belle. Notre rousse lubrique cambrait les reins et se caressait les seins avec nervosité, de sa main gauche. Elle se pinçait les tétons en murmurant du bout des lèvres des prénoms inaudibles, qui semblaient avoir des consonances tantôt masculines, ...
    ... tantôt féminines. Puis rapidement, elle finissait par être traversée par de longs spasmes, accompagnés d’un flot de paroles débridées et de gémissements rauques, qui témoignaient d’un orgasme puissant. Chauffé à blanc par cette scène, dont notre trio n’avait raté aucune miette, Marc se figurait alors, à ce moment de leur fantasme, que l’inconnu demandait à sa femme de le déshabiller. Lucie délirait : — Oh, Marc… je crois que je vais jouir…— Non. Calme-toi un peu. Là… oui… c’est bien… Mais elle reprenait de plus belle : En faisant glisser le zip de sa braguette, elle se voyait libérer avec jubilation une verge toute gonflée du désir de la déniaiser. Elle pouvait presque percevoir le battement des veines à la surface du membre fièrement dressé. Son souffle devenait court, sa bouche sèche, son cœur battait à cent à l’heure tandis qu’elle sentait son entrecuisse ruisseler comme jamais le long du sexe de Marc. Tout en effectuant des va-et-vient continus et réguliers, elle fermait les yeux pour mieux visualiser mentalement ce gland merveilleux, aussi étranger que prometteur. Dans son délire, elle imaginait que Marc déchirait alors l’emballage d’un préservatif. Il le déroulait ensuite avec précision sur la verge de l’homme, appréciant au passage la taille du membre robuste : Il glissait alors un« ça va te faire tout drôle ! » dans le creux de l’oreille de Lucie, sur un ton légèrement provocateur. Puis, dans un scénario récurrent, il allait rejoindre la jolie rousse sur le sofa. Cette ...