1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 693)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... le temps de patienter. Pendant tous le trajet, j'avais senti mon sexe s’écouler entre mes cuisses, l’excitation était bien présente en moi par l’idée que le grand jour était venu. Je ne savais plus si je devais rester ainsi ou pas car m'essuyer ne changerait plus rien maintenant. Je décidai alors de demeurer ainsi car seule la présence du Maître et son bon vouloir pouvais calmer mon état. Une fois dans le train, je pris mon téléphone avec mes écouteurs dans l'espoir de me détendre. Cela ne marcha pas du tout car je sentis un regard sur moi. En levant les yeux, je vis une femme qui me fixait sans détourner une seule fois son regard. Elle était un peu forte et son expression était très sévère. Quand mon regard croisa le sien, je baissais immédiatement mon visage vers le sol. Cette femme me regardait comme si elle savait ce que j'étais dans l'intimité. Je n'osai plus relever mon visage. Le trajet en train qui dura une heure et demi fut plus que long, tant mon impatience d’arriver m’obsédait. Une fois arrivée, je descendis rapidement. Je pris la direction d'une des sorties, quand on m’attrapa par le bras. En regardant qui c'était, je vis que la femme du train m'avait suivi pour m’aborder. - Ou est-ce que tu crois aller comme ça, chienne ? Le Maître t'a dit que tu aurais un chauffeur, je suis celui-ci. Maintenant, tu me suis gentiment et sans faire d'esclandre ! Murmura-t-elle. - Oui Madame, répondis-je toujours les yeux au sol tellement cette femme m’impressionnait et une fois ...
    ... la surprise passée. Elle fit demi-tour et partit en direction du parking. Je la suivis docilement jusqu'à une grosse berline noire aux vitres teintées ou elle m'ouvrit la porte arrière, sans me dire un seul mot. Je montai dans ce véhicule et je fis ce que Le Maître avait exigé de moi. Pendant que je me déshabillai, je pouvais sentir le regard de la femme sur mon corps, ce qui me fit frissonner de gêne mélangé à un certain plaisir dû à la situation. Car j'étais tellement excitée de sentir ce regard de cette femme que celui-ci ne me dérangeait pas, il m’excitait encore davantage. Je pris mon collier avec sa laisse, je le mis à mon cou et m'installai entre les sièges de la voiture. Une fois fait, la femme démarra le véhicule, toujours en silence. Le chemin semblait durer une éternité dans cette position mais Le Maître avait exigé cela alors je me soumettais à son bon vouloir. La grosse voiture finit par ralentir et par s'arrêter complètement au bout d’une bonne heure de route. Je ne savais pas où j’étais mais je ne pus y réfléchir plus longtemps car on ouvrit la porte et on attrapa ma laisse. On tira dessus doucement pour que j’avance et que je descende de la voiture. Je me retrouvai sur une pelouse immense où trônaient de multiples statues grecques bordant sur une large cour de graviers rouge. Et mon regard se porta tout de suite sur l’impressionnante et haute bâtisse se trouvant en face de moi. C’était un magnifique Château qui s’offrait à mes yeux, planté dans un immense parc ...