1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 693)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dans le train, quand j’entendis quelqu'un ouvrir la porte de mon cachot. Réflexe instinctif, je me relevai d’un bond et je me mis au plus vite en position agenouillée, tête baissée, mains derrière le dos et buste droit afin que mes fesses ne touchent pas mes talons. Je constatai que Marie, la femme du train, était revenue. Elle attrapa ma laisse et me dirigea à l’extérieur du cachot en m’obligeant à évoluer à quatre pattes. Elle marcha dans un couloir puis me fit monter un autre escalier toujours de pierre et en colimaçon mais celui-ci me paraissait beaucoup plus large. Nous arrivâmes à l’étage dans un couloir magnifiquement décoré de tableaux, de tapisseries et de tentures. Le sol était plus doux car un magnifique tapis épais soulageait un peu mes genoux. Je fus conduite dans une pièce immense en profondeur offrant un large espace également en largeur. Le plafond à la française était flanqué de très beaux lustres de cristal qui éclairaient parfaitement bien toute cette pièce. Là aussi, tableaux, tapisseries et tentures décoraient richement les murs entre les hautes fenêtres sur un côté mais également sur les trois autres pans de murs aveugles… Marie se mit enfin à m’adresser la parole : - J'ai parlé au Maître, chienne. Il veut que tu te mettes en position d’attente et que tu attendes justement son bon vouloir ! dit-elle avant de sortir et de me laisser ainsi. Je m'installai donc de nouveau agenouillée, tête baissée, etc…. Je ne sus pas dire combien de temps, j'ai du rester ...
    ... dans cette position mais je m’enjoignais à ne pas bouger, mes cuisses me faisaient mal au bout d’un long moment et j’avais trop envie de reposer mes fesses sur mes talons afin de me soulager de la douleur musculaire causé par l’immobilité de la position agenouillée. Quand, une porte finit enfin par s'ouvrir et je vis un homme grand entrer. Il avait en main les bouts de deux chaînes et il s'en servait de laisses pour entraîner à sa suite deux femmes nues qui le suivirent docilement, faisant évoluer leur corps à quatre pattes avec une grâce féline. En effet à Ses Pieds, nues, seulement vêtues d'un épais collier d'acier enserrant leur cou, deux femmes nues étaient légèrement en retrait, et pour chacune d’elles, une fine chaînette d’or partait de leur collier pour être fixée à leurs tétons annelés. Les deux femmes suivirent le rythme de ses pas, sans jamais gêner son évolution, sans jamais se plaindre, elles étaient d’une docilité absolue et semblaient si heureuse de se trouver en cette position aux pieds du Maître. Je reconnus, donc, tout de suite Monsieur le Marquis d’Evans, le Maître vénéré. Il s'approcha de moi et j'eus du mal à maîtriser mes émotions... Sa seule présence marquait l'évidence de Sa Nature Dominante et je me mis à trembler, pas de peur mais plutôt par ce sentiment d’infériorité, car que je me sentais vraiment petite, à cet instant devant l’impressionnant charisme et la prestance du Maître. Arrivé à mon niveau, il s’arrêta, ses deux femelles également, elles, ...