1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°875)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°874) – Au bout d'un temps que je ne saurais définir, le Maître revint et déposa une gamelle devant moi… - C'est bien Ma chienne ! Tu es restée absolument immobile pendant mon absence. Allez, mange. Il te reste vingt minutes avant de reprendre ton travail. Prends ton temps, rien ne presse. Je mangeais avec bonheur tout ce qui se trouvait dans le récipient devant moi. De temps à autre, je recevais une caresse du Maître sur mon cul arrondi, quand soudain Il me prit sauvagement sans préavis, s'enfonçant tour à tour dans ma chatte ou dans mon cul pour finir par se vider au fond de mes entrailles dans un coït profond. Sous Ses coups puissants de reins, sauvage, j'avais renversé une partie de ma gamelle. - Eh bien, je ne savais pas que j'avais des truies dans Mon Cheptel ! Dit-Il avec un sourire. Dépêche-toi de lécher le sol, ça va être l'heure de reprendre ton travail. Je travaillais jusqu'à 17h, le cœur remplit de bonheur. Le Maître était strict, mais il était juste et bon. J'étais heureuse de tout avoir abandonné pour être sous Son joug total et absolu. Encore une fois, malgré la fatigue, je ne fis aucune erreur lors des interrogations du Châtelain… À 17h, je rejoignis Walter qui, avant ma séance de dressage, m'emmena dans une salle ou je retrouvais mon frère, esclave Endymion MDE et mes sœurs esclave Phryné MDE et soumise Laïs MDE. Là, on nous expliqua ce qui nous attendait pour le soir du réveillon de Noël. J'étais très ...
    ... excitée à cette perspective mais un peu angoissée aussi. Nous étions mardi soir, il restait quatre jours à attendre… Ensuite, je fus ramenée une heure dans la salle de dressage où je dus reprendre le même parcours que la veille. Enfin à 19h, je repartis en cuisine, finir ma journée au service de la perverse Marie. Je participais à la préparation du repas puis je fus affectée à la plonge. Marie en profita pour me prendre bestialement à même le sol sur le carrelage de la grande cuisine. Elle me prit en levrette avec un god-ceinture et m’encula profondément tout en me tirant en arrière mes cheveux… Elle prenait plaisir à me faire crier m’ordonnant de hurler si j’avais mal afin que tous ceux dans le Château, qui pourraient entendre mes cris, se disent que je suis en train de passer un mauvais quart d’heure. Mais j’avoue que malgré la douleur de la sodomie sauvage, de cette brutale saillie perverse, je coulais ma cyprine de ma chatte trempée tant cela m’excitait de me faire prendre ainsi... Lorsqu'arriva l'heure de regagner ma niche, je m'allongeais avec plaisir sous mon épaisse couverture et m'endormais rapidement… Le lendemain fut une journée un peu particulière. C’était un mercredi. Le matin se passa normalement, et comme l’avait ordonné Walter, l’après-midi je le retrouvai en salle de dressage. - Cette semaine est particulière chienne. C’est la semaine de Noël ! Donc nous ne ferons pas le programme de dressage intensif prévu pour une demi-journée de « congés » mais nous allons te ...
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