1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°875)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mélanger entre eux et copuler en spectacle. Devant se lécher, s'embrasser, se pénétrer, dans une joyeuse orgie fraternelle. Lorsque les corps furent épuisés, les Invités se retirant souvent accompagnés dans les chambres mises à leur disposition, Monsieur le Marquis décida de monter Lui aussi finir Sa nuit avec Son dernier cadeau. Point de vue de soumise Marion MDE : Je trouvais le temps extrêmement long. Mes muscles étaient tétanisés de cette longue posture forcée. J'avais ressenti des mouvements près de moi pendant un certain temps, des frôlements. Mais personne ne s'occupait de moi. Je finis par m'endormir d'ennui. Jusqu'à ce que je me sentis soulevée. Deux soumis avaient été chargés de m'emmener dans la chambre du Maître. Lorsque je fus déposée sur un tapis, après quelques minutes, mes bouchons d'oreille furent enlevés, pourtant je ne percevais aucun bruit. Soudain, je sentis des mains, que j'aurai reconnues entre mille, sur mon corps, me caressant doucement, me massant légèrement. Je sentis mon bas-ventre réagir instantanément. Le Maître, toujours sans un mot, commença à enlever le ruban qui m'entourait, puis mes liens, et Il me prodigua un vrai massage. J'étais maintenant allongée sur le ventre. - Ma chienne, je suis fière de toi. Tenir aussi longtemps dans une position imposée, et ne pas laisser échapper un son au moment de la libération est, je le sais, un exercice auquel tu n'as pas ...
    ... l’habitude de pratiquer. Cette nuit sera magique ! Il m'enleva mon bandeau puis m'ordonna de me mettre en levrette sur le lit. Avant de me pénétrer, Il murmura à mon oreille : - Jouissance autorisée à volonté, alors profite-en, Ma salope de petite femelle de chienne ! La nuit fut longue, torride, puissante. Après avoir usé et abusé de tous mes trous, et nous avoir accordé un moment tendre, moi blottie dans Ses bras puissants et réconfortant, où je me suis sentie protéger comme jamais, le Maître appuya sur un bouton et cinq minutes après on frappait à la porte. Après en avoir reçu l'autorisation, Walter entra accompagné à ma grande joie de mes sœurs et frère MDE. Le reste de la nuit se poursuivit donc à cinq. Soit cinq à prendre soin du Maître, soit quatre soumis à baiser sous Ses ordres, soit le Maître s'occuper de trois d'entre nous (une verge deux mains) le dernier obéissant à un ordre, soit de lécher ou sucer l'un de nous, soit d'attendre dans une position imposée. Ce fut la nuit de débauche la plus chaude, la plus orgiaque que j'avais jamais connu. Sans aucun doute, je me souviendrai de ce premier Noël pendant longtemps. À la fin, tous épuisés, nous eûmes le droit de nous coucher sur le tapis au pied du lit, tous les quatre enroulés les uns autour des autres, dans une étreinte pure d'amour fraternel. Nous nous endormîmes heureux, assouvis, plus que jamais propriétés du Maître Vénéré… (A suivre …) 
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