1. Christine V : Coeur, sexe et imagination (2)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: Hétéro

    Le mardi qui avait suivi la Saint-Valentin, Christine et moi avions passé "notre" soirée à la maison. Après un souper léger, nous nous étions confortablement installés dans le canapé pour feuilleter l’album photo de l’année scolaire passée ensemble, tout juste vingt ans auparavant. Christine avait été le chercher à la cave et j’avais été ravi de l’apercevoir sur la table du salon en rentrant du travail. Il y avait en effet plusieurs années que nous ne l’avions pas ouvert. Il y a là de simples photos prises au sein même de l’école, durant les pauses, parfois dans la classe même. Le souvenir du voyage à Varsovie effectué en octobre revient en mémoire : à ce moment-là, nous n’étions pas encore sortis ensemble. Des soirées de classe, ici ou là. Nous essayons de remettre des prénoms sur les visages. Christine a plus de mémoire que moi. Elle me dit qu’elle trouvait Mathieu très mignon avec ses cheveux longs, mais elle n’aimait pas son caractère, elle le trouvait con. Elle me demande quelles étaient les filles qui me plaisaient le plus : — J’aimais bien Flavia. — Quoi ? Elle !??! Elle n’était pas jolie et je n’ai jamais entendu le son de sa voix. — Elle était petite alors c’est sûr, personne ne la remarquait. Mais je peux te dire qu’elle était très bien foutue. Mais c’est vrai qu’elle ne pouvait pas faire mieux pour passer inaperçue en classe avec ses jeans sans forme et ses pulls trop larges. — Tu as couché avec elle ? Je ris. — Non. Mais le soir du dernier jour d’école avant ...
    ... Noël, un vendredi, j’avais euenvie d’aller faire quelques brasses à la piscine et j’étais tombé sur elle. Son monokini dessinait très agréablement ses formes, crois-moi : de très jolisseins qui pointaient à ce moment-là, un ventre super plat, des jambes fines et musclées et des fesses magnifiques. Nous avions bu un verre et je lui avais dit qu’il était regrettable qu’elle s’habille ainsi car elle avait uncorps magnifique. Elle avait rougi mais n’avait pas répondu. Christine confirme : — J’en avais discuté avec Tania qui était souvent avec elle. Ses parents étaient catholiques pratiquants, assez rigoristes dans leur manière de voir le monde. A 20 ans, Flavia était loin de faire ce qu’elle voulait et elle était vierge. J’ai appris qu’elle était partie vivre en Italie peu après la fin des études. Je regarde à nouveau une photo de classe et dis à Christine qu’on devrait essayer de réunir tout le monde. Elle rit et me cherche : — Pourquoi ? Il y en a une autre que tu aimerais revoir ? Je souris et réponds : — Véronique, ça ne me dérangerait pas. — Alors elle, elle était super sympa. Qu’est-ce qu’on a pu rire ensemble ! — Je me souviens qu’elle avait un rire super communicatif. — Elle te plaisait ? — Elle n’avait pas un très joli visage, mais j’aimais bien son style. Sportif, simple, mais toujours avec une touche sexy : un top moulant par-ci, une jupe par-là. Et puis sa grande bouche et ses seins me faisaient fantasmer. — Elle était raide dingue de toi. Tu le savais ? — Je l’ai appris ...
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