Christine V : Coeur, sexe et imagination (2)
Datte: 10/11/2019,
Catégories:
Hétéro
... en fin d’année. Je rigole et Christine comprend qu’il y a autre chose : — Raconte, allez ! — Ça devait être une dizaine de jours après que tu m’aies largué en porte-jarretelles. Elle éclate de rire, moi aussi. Il nous faut quelques secondes pour retrouver notre calme. Je poursuis. — On n’avait plus beaucoup de cours et ce jour-là, on avait été libéré dès midi. J’avais proposé qu’on aille manger tous ensemble, mais entre ceux qui étaient déjà partis, ceux qui ne pouvaient pas, dont toi, et ceux que ça n’intéressaient pas, je me suis retrouvé seul avec Véro. — Je m’en souviens bien. Il me semble que vous étiez quatre ou cinq. — Quatre, oui. Mais quand ils ont vu qu’on était si peu, Thomas et Raphaël ont laissé tomber. — Alors tu es partie avec Véro. Elle devait être folle de joie. — On a pris sa voiture qui était décapotable et on a été prendre le téléphérique pour monter au Petit-Dimison. On a mangé sur la terrasse du restaurant de la station supérieure du téléphérique puis on s’est promené un peu. A un moment, Véro m’a fait couper à travers bois et on s’est retrouvé sur une petit esplanade herbeuse, ombragée, avec une vue magnifique. — Et tu ne te doutais de rien ? — Là, oui, car pendant le repas, Véro avait fait des remarques assez explicites. Mais j’ai voulu faire durer le plaisir. J’ai enlevé mon t-shirt. Peu après, j’ai dit que j’avais encore chaud. Véro m’a dit en riant d’enlever mon jeans et je lui ai dit de le faire elle-même. Elle l’a fait sans hésiter et ensuite, ...
... elle s’est littéralement jetée sur moi et on s’est embrassé. — C’est tout ? — Bah, non, mais c’est comme ça que ça s’est passé. Ensuite, on a fait l’amour sur l’esplanade, elle m’a sucé dans le téléphérique en redescendant, on a été faire l’amour chez elle, deux fois. Le soir, on a été manger au restaurant puis on a passé la nuit chez son père car il était absent. On a baisé toute la nuit. Elle était très, très chaude. — Ben bravo ! stbsiine — Le lendemain matin, on avait cours à 10h et cinq minutes avant, dans sa voiture, je jouissais dans sa bouche. Elle avait mis sa jupe bleue sous laquelle elle ne portait rien. Christine rit et répète en insistant sur les mots : — Aaaah, la fameuse jupe bleue de Véro ! — Elle lui faisait un cul fabuleux ! — Ça, c’est certain. Tous les mecs la reluquaient. Et ça ne plaisait pas spécialement aux nanas de la classe, même si certaines étaient plus jalouses qu’autre chose. — J’ai réalisé le fantasme de tous les mecs de la classe ce jour-là à midi : soulever sa jupe et labaiser. Ça s’est passé dans lestoilettes du troisième étage. — Ça ne m’étonne pas, elle n’avait pas l’air d’avoir froid aux yeux. Votre histoire s’est poursuivie ? — Non, elle est tout de suite partie en vacances dans sa famille en Normandie et elle ne m’a jamais rappelé. Bon, je ne l’avais pas attendue non plus. Mon récit avait émoustillé Christine qui me gratifie d’une formidable pipe avant de me chevaucher avec vivacité. La fatigue se manifestant, nous nous couchons peu après. ...