1. Muriel


    Datte: 10/11/2019, Catégories: ff, ffh, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, confession,

    ... d’un air contraint : — Je… je n’ai pas l’habitude de porter ce genre de chose, je ne sais pas si ça en vaut la peine. Alors là, je réagis. Comme je suis dans son dos, je passe mes bras autour d’elle et prends ses seins dans mes mains. Ils sont lourds, mais bien fermes. En les haussant légèrement, je les lui présente : — Votre poitrine est merveilleuse ; vous possédez là un trésor qu’il faut mettre en valeur. Elle reste tétanisée devant mon culot. Je prends bien garde de ne faire aucun geste pouvant prêter à confusion et tiens mes doigts éloignés des tétons tendus. Cependant, cette douce chaleur dans mes paumes et ce corps qui s’abandonne contre moi me procurent un plaisir inédit. Elle murmure : — Je n’ose pas… Je souris. Elle se regarde enfin puis sourit aussi, ferme les yeux et, dans un geste très tendre, tend la tête en arrière et vient se frotter contre ma joue. C’est fou comme le bonheur peut être contagieux ! Je prends un dernier soutien-gorge, semi-balconnet, tout noir. Il rehausse à merveille la poitrine généreuse de la dame. La bordure de dentelle couvre tout juste les aréoles. — Oh non, dit-elle, c’est trop impudique ! Mon mari… Alors j’attrape le soutien-gorge banal avec lequel elle est arrivée et le place par-dessus. — Je ne connais pas Monsieur votre mari, mais je suis certaine qu’entre ça… (là, je montre le premier soutif que je fais glisser ensuite pour faire apparaître le noir) … et cela, c’est celui-ci qu’il va préférer, (je souris) et de loin !— Vous croyez ...
    ... ?— Mais, Madame, je ne crois pas : je suis sûre ! Et je sais qu’au fond de vous-même, vous en êtes persuadée, aussi.— Je n’oserais jamais…— Pourquoi, vous ne vous trouvez pas belle ?— Oh, si !— Alors, faites-moi confiance. Vous verrez le résultat ; et si, par hasard, vous étiez déçue, je m’engage à vous rembourser. En fin de compte, la cliente est repartie avec le soutien-gorge noir, la culotte assortie et une nuisette transparente. Monsieur son mari va se régaler ce soir ! Virginie m’attendait : — Je n’en reviens pas ! Arriver à vendre l’une des parures les plus sexy du magasin à la prude madame Desrouches, c’est incroyable. Jamais je ne m’y serais risquée ; je n’y aurais même pas songé. Qu’est-ce qui t’arrive ? Alors je lui raconte tout : Kévin, le mot magique, mon premier orgasme devant et avec Kévin, et puis ce bonheur permanent depuis. Et aussi le fait que ce n’est pas un bonheur béat, imbécile, mais qu’au contraire je reste pleinement lucide. Bien entendu, ce récit s’étale sur tout l’après-midi, entrecoupé par la venue de clientes, les essayages et les ventes. Le soir, après la fermeture, Virginie me fait remarquer qu’en un seul après-midi, j’ai plus vendu que durant tout le mois précédent. Nous sommes installées autour d’une tasse de thé que nous dégustons tranquillement, moment de sérénité après l’agitation des heures précédentes. Je regarde Virginie. Depuis toujours elle m’attire ; c’est maintenant que je le réalise. J’aime ses mains aux longs doigts déliés ; je les ...
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