1. Muriel


    Datte: 10/11/2019, Catégories: ff, ffh, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, confession,

    ... imagine sur moi, et ça me fait frissonner. J’aime son petit nez pointu. J’aime tout son corps, sa finesse, mais aussi sa force. Nous avons le même âge – quarante-sept ans – pourtant elle a toujours été pour moi une grande sœur qui me protégeait, qui me consolait. Je l’aime. Alors, je refuse le déséquilibre créé entre nous par mon bonheur. Je veux qu’elle aussi en profite. Je le lui dis. Elle me répond : — Tu sais, j’ai vraiment du mal à y croire. Bien sûr, je t’ai vue. Le changement en toi est évident, mais c’est trop beau, trop « magique ». Ça ne peut pas exister dans le monde « normal ».— Écoute, tout dépend de Kévin. Je te jure que je vais tout faire pour que, toi aussi, il te fasse profiter du « mot magique ».— Je ne veux surtout pas que tu te sacrifies pour moi.— Me « sacrifier » ? Tu veux rire ! Ce ne pourra être que du plaisir… ♦ ♦ ♦ En rentrant chez moi, je suis vannée. Le bonheur, c’est magnifique, mais ça épuise ! Kévin m’a prévenue qu’il mangerait à l’extérieur et rentrerait très tard, alors j’avale un bol de potage, croque une pomme, et au lit ! Je me caresse tranquillement. Ce soir, je n’ai pas envie d’un orgasme ravageur, mais plutôt d’une détente, d’une molle langueur pour me conduire au sommeil. Mon plaisir vagabonde autour de mes expériences de l’après-midi. C’est excitant de réaliser comme il est facile de prendre l’ascendant sur d’autres personnes : un grand sourire, de l’autorité et du culot, et voilà ces femmes à ma merci. Il est vrai que le fait ...
    ... d’être en partie dénudée les met en position d’infériorité. Ces rêveries me conduisent à l’orgasme ; c’est profond mais doux, et je m’endors. Le matin, au petit-déjeuner, Kévin m’observe. Il faut dire que je me balade toute nue. Il fait bon dans la maison, et ça me paraît tellement plus naturel. Je sens son regard sur moi, mais dès que je me tourne vers lui, il rougit et détourne les yeux. — Tu dois me dire, Kévin, si ça choque de me voir à poil. Moi, je me sens à l’aise, mais je ne voudrais pas que toi, tu sois gêné.— Oh non, Muriel. C’est que je n’ai pas encore l’habitude. Tu es très belle, et ça m’excite ; aussi j’ai un peu honte.— Au contraire, mon grand. C’est tout à fait naturel, et cet hommage me va droit au cœur. Enfin, quand je dis « au cœur », tu me comprends… « Il faut que je me surveille ; (Kévin pique un nouveau fard)je dois le ménager, ce petit. » — Je t’ai déjà parlé de Virginie, ma patronne et meilleure amie. Elle est bouleversée par ma transformation, et j’aimerais beaucoup qu’elle puisse profiter aussi de ce bonheur. Sa figure se referme, il ne sourit plus. — Tu sais, ce mot, c’est un secret. Je n’ai pas le droit de le divulguer ainsi.— Mais, qui t’en empêche ?— Moi, uniquement moi. Je suis le dépositaire des dernières volontés de celui qui me l’a appris. Je fais mon sourire le plus chaleureux. — Quelle importance ? Il est mort depuis longtemps. Alors ?— Alors, il faut que je réfléchisse.— Réfléchir à quoi ? Ça va durer longtemps ? Il me regarde d’un œil torve, ...
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