1. Muriel


    Datte: 10/11/2019, Catégories: ff, ffh, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, confession,

    ... rempli de sous-entendus. — Ça dépend… si tu es gentille… « Oh, le petit salaud ! Du chantage… » — Alors là, mon petit Kévin, tu te fourres le doigt dans l’œil. Pas de chantage avec moi, ça ne marche pas. Décomposé, il tourne vers moi un regard vide. — Mais, Muriel, c’est pas… je plaisantais… j’ai jamais voulu…— D’accord, n’en parlons plus. On se reverra ce soir. Et je m’en vais faire ma toilette et m’habiller, le laissant en plan pour ruminer sa maladresse. Je ris intérieurement, car il va vouloir rattraper cette bévue. Je le connais ; je le tiens ! ♦ ♦ ♦ J’utilise la matinée pour m’acheter deux robes et un joli petit ensemble en accord avec ma nouvelle personnalité. L’après-midi, je profite d’un long moment sans clientes pour choisir deux belles parures, culotte-soutien-gorge, ainsi que deux nuisettes pas trop transparentes pour me balader chez moi. Le soir, quand je rentre à la maison, un magnifique bouquet m’attend avec un petit mot : Il approche, penaud. Je ne peux pas résister ; je le serre dans mes bras et, tout naturellement, nos lèvres se joignent en un baiser qui devient vite passionné. Ses mains me caressent le dos, hésitent sur la taille puis se décident à empoigner mes fesses. Une onde de chaleur se répand dans mon corps, c’est irrésistible. Je me décolle légèrement pour déboutonner sa chemise. Ces petits boutons sont démoniaques ; énervée, je tire, j’arrache presque. Pendant ce temps, il a dénoué mon cache-cœur et extrait un sein de son bonnet.« C’est pas juste ...
    ... ! » Je chavire ; il me tète, je tremble. Alors, j’y mets toutes mes forces : ça craque. Tant pis ! Je me colle, peau contre peau.« Humm, c’est bon ! » Ses mains dans mon dos, il trifouille l’attache du soutif. C’est à lui de s’énerver ; moi, je savoure la peau de son torse par tous les pores de la mienne. Ça y est, il a réussi. Il caresse mes épaules pour dégager les bretelles ; je frissonne. Je sens les bonnets qui glissent ; je m’écarte un peu et laisse tout tomber. Sa bouche passe d’un téton à l’autre ; mes jambes se dérobent, je m’accroche à lui. C’est à peine si je me rends compte qu’il a dégrafé ma jupe et qu’il la tire vers mes pieds avec ma culotte. Je ne tiens plus, je m’écroule sur une chaise. Un instant, j’ai perdu la raison. Quand je retrouve mes esprits, j’ai l’impression de flotter au-dessus de moi. Je me vois, vautrée sur la chaise, les bras ballants et les jambes écartées. À genoux entre mes cuisses, Kévin me lèche. Sa langue se fait dure pour me fouiller ou toute douce pour agacer mon clitoris. Je m’entends gémir. Je m’abandonne. Ma respiration est rapide, ma tête rejetée en arrière. Ça devient insupportable ; mes cuisses se resserrent, emprisonnant Kévin, et mon corps se tend en arc. Je hurle. Le cri me fait réintégrer mon corps. Je me laisse retomber, vibrant de partout. Je ne pense plus : je suis vide de bonheur. Aidée par Kévin, je m’allonge par terre. Il n’en a pas fini avec moi. Sa bouche se régale de mon ventre, chatouille mon nombril, déclenchant des ...
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