1. Ma femme et " son guérisseur " (1)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... douzaine d’heures…mais après ! — Comment ça après !? Bordel de Dieu ! Vous êtes en train de me dire que cette saloperie va continuer de s’étendre sur le corps de mon épouse ! — Exactement, je ne peux rien faire, NOUS ne pouvons rien faire, le zona est une manifestation psychologique, somatique signe d’un énorme bouleversement intérieur…à la rigueur allez consulter un psychiatre, lui, pourra peut-être faire quelque chose. » Il nous raccompagne à la porte de son cabinet, je suis anéanti, Cécile quant à elle, est liquéfiée, elle pleure doucement et je suis obligé de l’aider à marcher ! « Je suis vraiment désolé M xxx, croyez bien que la médecine fait tout ce qu’elle peut , mais qu’elle a bien du mal à appréhender l’âme humaine, et mon intuition me dit qu’il y a quelque chose de très profond , de très puissant , dans l’esprit de votre femme qui s’exprime et cherche à vous dire quelque chose. — Comme quoi ? — Vous avez lu Freud ? — Évidemment, que vient-il faire dans ce bordel ? — C’est la clé, un mot en quatre lettres… — Putain ! — C’est parce que je vous connais bien M xxx et que je comprends votre ressentiment, mais sachez que je ne tolère aucune vulgarité chez mes patients. — Excusez –moi docteur. — Une dernière chose, allez voir ce monsieur, (en me tendant une carte de visite), c’est un guérisseur, et il habite non loin de chez vous… — Un guérisseur ? — Oui il fait, parait-il, des miracles. Au-revoir et courage. » Le lendemain, abasourdi par ce que nous allons faire, je ...
    ... conduis Cécile chez ce « rebouteux »… autant pour mon esprit cartésien… et c’est un médecin qui nous y envoie ! L’homme, âgé d’une soixantaine d’années, sportif, carré, inspire confiance. Il est agriculteur dans la vie, mais pas du tout l’image d’Epinal du bouseux aux joues couperosées par l’alcool. Nous sommes dans son « cabinet » de consultation, il y a une bibliothèque assez conséquente. Ma femme est debout devant lui, il s’approche d’elle et lui prend les deux mains, il ferme les yeux…puis les relâche. Il s’adresse à moi : « M xxx , je vais devoir demander à votre femme qu’elle se dénude la poitrine et je serai obligé de passer mes mains sur la zone lésée…je vous dis cela pour qu’il n’y ait pas de quiproquos… — Je comprends, allez –y… » Cécile, comme groggy par la douleur et les antalgiques, elle est bourrée de codéine ou d’ibuprofène depuis la consultation médicale, obéit sans dire un mot. Je retiens mon souffle, je vais voir ma femme se déshabiller, du moins en partie, devant un inconnu…j’ai presque la pensée perverse de me dire qu’il est dommage que le zona n’ait pas atteint la zone pubère… Je regarde la scène, stupéfait…et de plus en plus excité ! Cécile remonte lentement son pull chaussette bordeaux qui moule tellement bien ses petits seins et sa taille fine, elle prend son temps comme si elle faisait un strip-tease, je comprends que c’est l’effet des médicaments, son regard est vide… Seulement le gars, ce magnétiseur, comprendra-t il lui que c’est un geste de faiblesse ...
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