1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°783)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode N°779) – Le temps d’attente se passa à repenser à cette sublime matinée, où j’étais passée du sentiment de princesse, bien que toujours aux pieds du Maitre, à certainement la place la plus basse et humiliante. Pourtant je vénérais toujours autant le Maître et ne souhaitais me trouver nulle part ailleurs qu’à cet endroit… J’étais si heureuse … Je me retrouvai donc solidement attachée sur le lit du Maître, écartelée, le cul et la chatte offerte, les yeux bandés. Je ne savais pas ce qui m’attendait mais cela m’excitait par avance. J’étais dans la chambre du Maitre Vénéré, et j’étais par là même sûre que quoi qu’il m’arrive, cela viendrait de Sa main, et non d’un inconnu. J’étais donc dans un état fébrile d’excitation évidente, impatiente, déjà fort humide. Je n’arrivai à rien imaginer de ce qui pourrait arriver, le Maître pouvant être totalement imprévisible et inventif de par Sa grande expérience lorsqu’il s’agissait de faire découvrir de nouvelles choses à ses soumis(es). La porte s’ouvrit, sans que je puisse savoir qui avait pénétré dans la pièce. Quelqu’un me posa un casque sur les oreilles, des sons vinrent au bout de quelques secondes se répandre dans ma tête. Ce n’était pas de la musique, juste des sons continus, qui variaient d’intensités et de tons. C’était des sons binauraux, qui influencent le cerveau par l’entraînement d’ondes cérébrales, et dont l’effet dépendait de la fréquence de l’onde. Ce n’était pas puissant en terme ...
    ... de volume, ni assourdissant mais simplement des sons variant et très acceptables pour l’oreille humaine. Les sons en question commençaient à provoquer en moi une détente profonde, à la limite de l’endormissement. Je flottais sur un nuage. Des mains doucereuses et lentes, que je reconnus comme étant celles du Maître, commencèrent à me caresser, partant des pieds, remontant vers mes cuisses, mais ne touchant pas mon entrecuisse. Puis Elles passèrent délicatement sur mon ventre, efflorant juste ma peau et provoquant chez moi des frissons et l’apparition de la chair de poule. Elles remontèrent ensuite vers mes seins par un toucher plus appuyé, et tandis qu’Elles les malaxaient, les pétrissaient, étirant mes tétons, les pinçant, les vrillant, Sa bouche vint se placer sur la mienne. Sa langue caressait mes lèvres avant de s’y engouffrer en un long baiser, tendre et savoureux… Lorsque le Maître mit fin à ce si délicieux baiser, Il se redressa, s’éloigna quelques instants, et quand Il revint, ce fut pour me mettre de petites pinces à clochettes, et un bâillon-boule dans la bouche. Il enleva le casque de mes oreilles et le bandeau qui recouvrait mes yeux. Je clignais plusieurs fois des yeux, puis je regardais le Maître dans les yeux pendant les cinq secondes qui m’étaient accordées avant de les baisser. J’avais essayé de faire passer dans ces quelques secondes tout ce que je ressentais pour le Maître. - Humm, j’aime te voir ainsi, à Ma merci et si désirable, si chienne en chaleur, si ...
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