1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°783)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... douce sous la peau ! Je te trouve sublime dans cette position, ainsi bâillonnée. Obligée de me faire comprendre par ton seul regard ce que tu ressens. Ton regard est tellement empli de dévotion à Mon égard ! Susurra le Maître à mon oreille tout en passant le bout de sa langue sur ma nuque. Comme à chaque fois que le Maître m’adressait un compliment, je rougissais et baissais encore plus la tête et le regard. Le Maître eut un sourire en coin. - Te rappelles-tu qu’un jour je t’ai dit que j’adorais faire rougir les joues, et qu’à défaut de pouvoir faire rougir les joues de ton cul, j’aimais te faire rougir celles de ton visage ? Tu sais, comme je te l’ai souvent exprimé, que j’adore voir des fesses rougies sous une volée de fessées ou sous ma maîtrise du fouet. Aujourd’hui, je vais pouvoir toutes te les faire rougir ! Et à voir le sourire qui illumine ton visage, je suis sûr que tu n’attends que ça ! Effectivement, je sentais un sourire me fendre le visage d’une oreille à l’autre. Oui, je me rappelais tout à fait le jour où le Maître m’avait dit cela, et depuis ce jour, j’espérais le rencontrer pour savoir ce que cela ferait ! En revanche, je me rappelais aussi, qu’Il m’avait précisé aimer particulièrement faire rougir un cul en levrette et je n’étais pas du tout dans cette position. - Bon évident, tu n’es pas dans la position que je préfère pour cela (répondant ainsi à mes pensées, ce qui me fit sourire encore plus), mais nous avons le temps, et je compte bien profiter de toi ...
    ... dans la position où tu te trouves. Tout en disant cela, le Maître s’était dévêtu et était monté sur le lit. Il se hissa au-dessus de moi et s’enfonça sans préambule profondément dans ma chatte qui dégoulinait déjà. Il allait et venait sans ménagement en moi, virilement tel un cerf en rut, Ses couilles venant frapper à chaque fois contre mon cul. Le Maître se maîtrisait parfaitement. Parfois il s’activait avec fougue et parfois il prenait son temps, alternant avec savoir, la puissance et la douceur et ainsi il avait réussi très vite à faire monter mon plaisir. J’avais de plus en plus envie de me laisser aller, mais je n’avais reçu aucune autorisation de jouir. Quand il décida de ne plus alterner avec les vas-et-viens lents pour accélérer le mouvement, donnant de vigoureux coups de rein, qui étaient en train de me faire perdre la tête... - Tu te rappelles ce que je t’ai dit ce matin ? me murmura-t-Il à l’oreille. Si j’avais de quoi être fier de toi, tu serais récompensée. Alors vas y ! Jouis, maintenant pour Moi, Je te l’ordonne, Ma chienne, Jouis, Je le veux ! Il eût à peine prononcé ces mots que je me cambrais dans un rugissement bestial, hurlant ma jouissance à corps et à cris, tandis que le Maître me regardait intensément, mais sans pour autant se laisser aller. Lorsque mon orgasme se fut calmé après de nombreux spasmes irradiant tout mon corps telle une décharge électrique me parcourant de la tête aux pieds, il se retira et s’enfonça comme dans du beurre au plus profond de ...
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