1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°783)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... queue est toujours souillée, et elle a besoin d’un bon nettoyage ! Remonte sur le lit et mets-toi à quatre pattes au-dessus d’elle. Je me relevais avec empressement et joie pour m’exécuter. Je grimpais au niveau du pied du lit, et remontais en rampant vers la queue du Maître. Là je me redressais en prenant la position exigée, et plongeais ma tête en avant, langue tirée, et je commençais à lécher le noble membre toujours dressée, avant de le prendre le plus profondément possible en bouche. Je le nettoyais avec application, et je le sentais gonfler de plus en plus sous mes caresses buccales reprenant toute sa vigueur. - Humm bonne chienne ! Ta bouche est vraiment accueillante ! Mais je te rappelle que je voulais te prendre d’une autre manière, n’est-ce pas ? Je me retournais donc et me mettais en levrette, Lui présentant volontiers mon cul et la rondeur de ses fesses. - Je suis sûr que Ma petite chienne doit avoir soif, dit le Maître en installant devant ma tête, un carré de nappe imperméable et une gamelle pleine d’eau. Il ne s’agirait pas de tremper Mon lit, alors fais attention en lapant ! Toute goutte d’eau renversée sera sanctionnée ! Tandis que je commençais à boire mon eau en levrette, je sentis le Maître se placer derrière moi, présentant Sa queue devant ma petite porte secrète qui s’ouvrit volontiers lorsqu’Il voulut voir ce qui se passait de l’autre côté. Les coups de reins du Maître furent de suite puissant même s’Il commença par un rythme relativement lent, ...
    ... s’enfonçant toujours jusqu’à la garde. Je ne pus rester longtemps sans renverser un peu d’eau, et à chaque fois une claque venait s’abattre sur l’une ou l’autre de mes fesses. Plus le Maître augmentait la cadence, plus l’eau versait, plus mon cul chauffait. Je ne me contentais pas de laper l’eau de la gamelle, je nettoyais aussi la nappe imperméable, pour être sûre que l’eau ne puisse mouiller les draps de soie du lit. Cela dit, ils risquaient fort de finir par s’humidifier d’une autre manière car ma chatte coulait tout ce qu’elle pouvait et je sentais la cyprine qui s’écoulait le long de mes cuisses. N’ayant reçu aucune nouvelle autorisation, je ne m’autorisais pas à jouir, mais je serrais les dents et me mordais les joues au sang, car le plaisir me brulait le bas-ventre, autant que mes fesses qui devaient être rouges cramoisies. Les coups de boutoir du Maître se faisaient plus intenses, et Il ne tarda pas à s’immobiliser dans de longs râles pour vider une nouvelle fois Sa noble semence au fond de mes entrailles en des jets saccadés ponctués par des ultimes coups de reins profonds ... - C’est bien Ma chienne ! Je suis ravi de voir que tu n’as pas joui, car effectivement tu n’en avais pas l’autorisation. Pour les épreuves de ce soir, je te veux brûlante, en manque, excitée. Viens me nettoyer la queue, et après je te laisserai entre les mains de Mes fidèles soumises vivant au Château, pour te préparer pour cette soirée, qui te restera, j’en suis sûr, inoubliable ! J’obéis ...
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